Mais ce que vous devez savoir, c’est qu’au-delà de l’aspect commercial, je me dois de vous donner mon opinion sincère sur ce sujet. Donc je le répète, on n’a pas besoin de se former avant d’entreprendre pour se mettre à son propre compte.
Pourquoi je le dis ? Parce que l’entrepreneuriat n’est
pas une science exacte. Ce n’est pas 1+1 = 2. Pour réussir en entrepreneuriat il
vous faut deux choses :
L’EXPERIENCE
Un très bon ETAT D’ESPRIT
C’est
quoi l’expérience ? L’expérience c’est tout simplement
pratiquer quelque chose, se tromper, tirer les leçons de ses erreurs et enfin
les corriger. Pour faire simple, l’expérience c’est apprendre par l’échec. Ceux
qui ont réussi en Entrepreneuriat vont souvent vous dire que leurs débuts
étaient difficiles, qu’ils ont connu souvent des échecs. On essaie, on se casse
la tête, on tire les leçons et on recommence jusqu’à ce qu’on réussisse. C’est
tout bête, mais c’est comme ça.
Maintenant le deuxième élément de succès en entrepreneuriat, c’est le bon état d’esprit. Les
entrepreneurs à succès vont très souvent vous parler de persévérance, de
rigueur, de discipline, ou encore de cultiver l’humilité ou la passion. Il faut
donc aussi acquérir ces valeurs-là pour réussir en business.
Donc se former avant d’entreprendre n’est pas du tout indispensable. Parce que les deux éléments nécessaires pour réussir dans ce domaine que sont l’expérience et le bon état d’esprit, peuvent s’acquérir sans aller prendre des cours obligatoirement chez quelqu’un.
Maintenant mon conseil personnel est le suivant : Il est toujours bon de se former avant d’entreprendre pour vous mettre à votre propre compte. Ce n’est pas indispensable, mais c’est mieux de le faire.Pourquoi je le recommande ?
Eh bien c’est simple ! Si je vous recommande de vous former en entrepreneuriat avant de vous mettre à votre propre compte, c’est tout simplement pour vous aider à réduire ; je dis bien réduire le prix que vous allez devoir payer pour acquérir l’expérience et le bon état d’esprit. Le prix à payer de l’inexpérience, c’est quelque chose que vous évaluez très mal.
C’est vrai que la
formation n’est pas indispensable pour entreprendre. Mais ce qu’il faut savoir,
c’est que ça coûte très cher d’acquérir les compétences d’entrepreneurs sans
formation.
D’abord, ça va
vous coûter de l’argent, beaucoup d’argent. Je m’explique. Je vous ai dit tout
à l’heure que pour gagner en expérience, il faut apprendre par l’échec. Les
gens aiment bien les citations du genre « l’essentiel
ce n’est pas de tomber, mais c’est de se relever » ou d’autres paroles
du même genre pour vous motiver. Ok c’est bien tout ça.
Mais ce qu’on ne
vous dit pas souvent, c’est qu’on ne sort pas d’un échec en Entrepreneuriat
comme si on sortait d’un diner gala. Ah ça ! Il faut se le mettre dans la tête
une bonne fois pour toutes !
Vous devez savoir que quand on ferme une entreprise parce que ça ne marche pas, c’est ce qu’on appelle la faillite. La faillite ça veut dire beaucoup de dettes. La faillite, ce sont des loyers impayés, ce sont des arriérés de salaires, ce sont des fournisseurs qui vous traquent. La faillite c’est aussi l’administration fiscale qui vous pourchasse. Ah oui ! Il faut savoir que 99% des entrepreneurs qui échouent sont généralement endettés.
En plus, après
ça, vous n’avez plus rien comme capital. Donc quand les gens vous disent de
vous relever après un échec, c’est bien beau, mais avec quel argent ? C’est ça
! Souvent vous n’avez plus rien. C’est ce qui fait que beaucoup d’entrepreneurs
abandonnent.
Moi j’ai créé
neufs (9) entreprises, j’ai échoué six (6) fois avant de trouver la bonne
combinaison. Mais ces échecs-là m’ont coûté énormément. Voilà pourquoi je vous
recommande de vous former avant d’investir le moindre centime quelque part.
Formez-vous auprès des gens qui ont de l’expérience.
En fait, ce qu’il faut savoir, c’est que les gens qui ont
de l’expérience ont déjà payé le prix des erreurs pour vous. Donc quand ils
vous forment, ils vous évitent de perdre votre argent à votre tour. Voilà
comment vous allez ainsi réduire le coût de votre apprentissage par l’échec.
Maintenant, je vous avais dit aussi qu’il vous fallait
acquérir le bon état esprit pour réussir. Mais ça s’apprend comment ? On développe le bon état d’esprit en côtoyant
les personnes qui ont déjà eux-mêmes ce bon état d’esprit. Par exemple, si
vous avez décidé d’aller à une manifestation avec quelqu’un qui est très
ponctuel. Vous allez voir que cette personne va vous mettre la pression pour
arriver à l’heure. C’est comme ça que ça fonctionne. Vous voulez rire
aujourd’hui, côtoyer des gens qui aiment rigoler.
Mais malheureusement, vous pouvez ne pas avoir tous ces
types de personnalités autour de vous. Il y a des gens qui n’ont pas du tout un
bon entourage. C’est en cela que les bons programmes d’entrepreneuriat
proposent des services de coaching, de mentoring ou de développement personnel.
Un mentor, un coach, un motivateur, ce sont des professionnels que vous allez
payer pour vous aider à développer le bon état d’esprit.
En conclusion, voici ce que qu’il faut retenir comme réponse à la question de savoir s’il est indispensable de se former avant d’entreprendre. Il n’est pas du tout indispensable de se former avant d’entreprendre un business. Mais il est préférable de le faire. Si vous vous lancez dans un business sans formation, vous risquez de supporter des coûts très élevés pour acquérir les deux éléments nécessaires pour réussir en affaires : l’expérience et le bon état d’esprit.
Voilà, je termine toujours en disant à ceux qui me lisent pour la première fois notamment en qui concerne la section ENTREPRENEURIAT. Que si vous voulez apprendre des techniques pour créer votre entreprise, je vous recommande de vous abonner à mon site internet dans la section ENTREPRENEURIAT en cliquant ici
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Démissionner ou non se lancer et réussir dans l’entrepreneuriat Temps de lecture : 2min 22s
Démissionner : c’est une question qui revient assez souvent parmi les aspirants entrepreneurs notamment les cadres salariés des grandes entreprises qui nous contactent. A un moment de votre carrière, vous avez le sentiment de stagner, les besoins quotidiens deviennent supérieurs à vos revenus mensuels et les promotions dans l’échelle de la hiérarchie de l’entreprise ont peu de probabilité de survenir. Dans ces moments-là, vous envisagez sérieusement de créer votre propre entreprise et gagner de hauts revenus. Vous pensez à démissionner mais vous avez peur de cette inconnue : Est-ce que ma boîte va marcher ? Comment vais-je vivre si ça ne marche pas ? Si vous avez des doutes sur l’opportunité de démissionner ou pas, voici ce que je vous conseille.
Démissionner sans de quoi vivre : ça jamais, jamais, jamais !
Quand vous lancez votre entreprise, imaginez qu’elle est
similaire à un champ ou une plantation que vous venez de créer. Il y a d’abord
le défrichage, la mise en terre des semences, l’arrosage et l’entretien de vos
plants jusqu’à ce que les premiers fruits apparaissent. Et parmi ces premiers
fruits il y aura des bons et des mauvais fruits. Pendant toute cette période il
faut vivre.
En effet, jusqu’à ce que les premiers fruits de votre
entreprise apparaissent, vous devez continuer à subvenir à vos besoins
quotidiens. En règle générale, il faut prévoir une réserve d’autonomie de 2 ans
pour une bonne marge de sécurité ou 9 mois de votre salaire au strict minimum (en
comptant sur le Seigneur pour que les fruits apparaissent vite. C’est pourquoi,
je vous recommande de constituer une épargne solide de deux années de votre
salaire avant de démissionner de votre entreprise.
Si vous vous lancez sans avoir une épargne suffisante pour
subvenir à vos besoins avant l’arrivée de premiers fruits, vous serez sans
doute contraint à manger les tiges de vos plants quand la faim sera là. A dieu donc
la plantation ! Au pire des cas, et c’est ce qui arrive le plus souvent,
vous allez redéposer vos demandes d’emplois en entreprise dans le but de
retrouver un travail et des revenus à nouveau réguliers.
Personnellement, j’ai épargné 250 000 FCFA par mois sur un compte bloqué à la Banque BIAO pendant 5 ans avant de me lancer dans l’entrepreneuriat à temps plein. Cette épargne est partie en fumée pendant toute la période d’attente des premiers fruits de mon entreprise. Sans cette épargne je n’aurais pas tenu. Par conséquent, démissionner sans épargne, n’y pensez même pas, même en rêve.
A ce moment, vous vous dites sûrement : « à
cette allure, ce n’est pas pour demain le travail à mon propre compte »
puisque si vous êtes comme la plupart des salariés, vous n’avez sans doute pas
d’épargne ou du moins très peu.
Comment constituer une épargne alors qu’on a à peine de quoi vivre heureux au cours du mois ?Ce que mon mentor m’a enseigné
C’est à ce genre de questions « insolubles » que
les mentors servent à répondre. Ils sont passés par là avant vous. Comme je
l’ai indiqué dans une interview accordée à Lentrepreneuriat.net j’ai eu deux
mentors, le premier, humain, fut mon parrain, oncle et témoin de mariage
l’expert-comptable SALE KOUASSI décédé le 20 octobre 2005 (RIP). Il ne me reste
que mon second mentor spirituel qui demeure le plus percutant quoi qu’en pense « Le Seigneur JESUS CHRIST ». Le
Hic ! C’est qu’il communique le plus souvent à travers un livre : la
Sainte Bible. Je profite de cet article pour dire aux aspirants
entrepreneurs de ne pas avoir honte de montrer leur FOI au Dieu Unique ou leurs
croyances religieuses. Les plus grands entrepreneurs à succès ont une très
forte connaissance spirituelle et ne font rien sans l’esprit. Alors, soit vous
faites parties du club des « Diabolos », soit vous êtes du camp des Croyants
en Dieu. Mais soyez à fonds dans l’un ou l’autre.
Pour revenir à moi, c’est dans ma Bible que je recherche
les réponses aux questions difficiles, et il y a toujours un personnage qui a
déjà vécu ce que vous vivez. Dans notre cas des salariés qui veulent constituer
une épargne suffisante afin de se lancer à leur propre compte, il existe un
personnage qui a vécu la même chose que vous. Il s’agit de JACOB, un patriarche
de la Foi et Père fondateur des douze tribus du peuple d’Israël (Référence
Livre de la Genèse chapitre 30, versets 25 à 43).
JACOB travaillait comme berger pour son oncle LABAN, il
voulait prendre désormais son indépendance mais il n’avait aucun bien, ni
argent pour s’occuper de sa famille s’il décidait de quitter son oncle. Alors
qu’a-t-il fait ? JACOB renégocia son contrat salarié avec son oncle. Il
proposa à son oncle de ne pas lui verser un salaire fixe mais d’accepter un
système de rémunération variable. En effet, il proposa ceci : «
Je suis prêt à soigner et à garder ton bétail comme avant. Je vais passer en
revue aujourd’hui tout ton troupeau et je mettrai à part tout mouton qui a des
tâches de couleur, petites ou grandes, tout mouton à la toison foncée et toute
chèvre qui a des tâches, petites ou grandes : ça sera mon salaire. » C’est ainsi que JACOB pu s’enrichir, constituer son propre bétail et prendre
son indépendance.
C’est exactement ce que je propose de faire. Pour gagner
plus, il faut obligatoirement exercer une activité à revenus variables
c’est-à-dire un système qui va vous payer en fonction de votre effort de
travail. Si vous travaillez plus et mieux, vous gagnez plus. Seul ce genre de rémunération
peut vous permettre d’accroître votre revenu. Vous ne pouvez pas gagner plus
d’argent dans un système de salaire fixe puisque comme son nom l’indique votre
revenu est fixe, que vous bossiez jusqu’à minuit pour rendre un rapport à votre
patron, peu importe la quantité de travail que vous abattez vous ne pouvez pas
gagner plus et améliorer votre quotidien.
Le revenu variable est une sorte de transition à la
création de votre entreprise. Car, tout comme l’entreprise, plus vous bossez
plus vous gagner de revenus et plus vous avez la capacité d’épargner.
Vous
devez donc faire comme JACOB : passer du revenu fixe ou revenu variable.
Quelles sont donc les options qui s’offrent à vous ?
Option
1 : Renégocier votre contrat pour intégrer une partie variable à votre
rémunération fixe.
La partie variable doit être liée à votre performance pour
que votre employeur accepte facilement « le deal ». Les postes à
vocation commerciale sont les meilleurs profils. Ainsi que les postes de
production. Exemple : négocier la fabrication ou la livraison d’un nombre
de produits en contrepartie d’une prime Ou négocier un pourcentage sur les
ventes réalisées.
Option
2 : Chercher à exercer votre travail en indépendant
Presque tous les emplois du monde peuvent être exercés en
indépendant pour le compte d’un tiers qui vous paiera en contrepartie. Vous
êtes un salarié comptable dans une entreprise, vous n’avez pas la possibilité
d’avoir une rémunération variable, ce n’est pas grave. Vous pouvez établir la
comptabilité de petites entreprises qui n’ont pas le luxe de s’offrir un
comptable à temps plein. Passez collecter leurs factures chaque soir à la
descente de votre boulot et enregistrez leurs opérations comptables le
lendemain à votre temps libre au bureau.
Les infographistes, les juristes, les fiscalistes, même
une secrétaire peut travailler en indépendant. Beaucoup de Chefs d’entreprise
de très petites entreprises paieraient bien pour que vous rédigiez rapidement
quelques courriers pour eux. Vous pourriez leur transmettre le travail achevé
par courrier électronique moyennant une rémunération par paiement mobile. Tout le monde peut trouver un petit job en
indépendant à revenu variable dans le même domaine dans lequel vous travaillez.
Dans ce cas, tous les revenus supplémentaires que vous gagnerez vous serviront
à garnir votre cagnotte d’épargne pour enfin démissionner.
Pour conclure, ne jamais démissionner pour créer votre entreprise tant que vous n’avez pas un minimum pour vivre en attendant la récolte des premiers fruits. Si votre revenu ne suffit pas à épargner, renégocier votre contrat en intégrant une partie à revenu variable et bossez plus pour gagner plus. Si ce n’est pas possible avec votre employeur actuel, fournissez des services indépendants dans le domaine dans lequel vous travaillez pour des chefs d’entreprises PME qui n’ont pas les moyens d’embaucher un professionnel à temps plein afin de constituer votre cagnotte de départ.
Voilà, je termine toujours en disant à ceux qui me lisent pour la première fois notamment en qui concerne la section ENTREPRENEURIAT. Que si vous voulez apprendre des techniques pour créer votre entreprise, je vous recommande de vous abonner à mon site internet dans la section ENTREPRENEURIAT en cliquant ici
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Financements : « Bonjour Coach, j’ai pleins d’idées d’entreprises dans la tête mais je cherche des financements pour les mettre en œuvre, pouvez-vous m’aider ? Merci d’avance ». Sur 100 emails que je reçois, au moins 1/5 de ces demandes de conseils concernent le financement de leurs projets de création d’entreprises. Malgré leurs recherches infructueuses auprès des établissements financiers, ils continuent dans la même direction, comme atteint du « syndrome de la mouche ». Pour ceux-là, il faut une thérapie de choc. La voici dans cet article.
En Côte d’Ivoire, il n’y a aucune banque commerciale qui fait des financements aux entrepreneurs au démarrage de leurs projets d’entreprises. A part quelques organismes d’Etat qui vous octroieront des fonds d’aide à la suite de concours dont eux-seuls maitrisent le processus de sélection, vous n’aurez jamais les fonds d’une institution financière pour créer votre entreprise. Mais comment trouver les fonds quand les banques ne prêtent pas pour la création d’entreprise ?
La
méthode la plus efficace est de s’inspirer de celles des autres. Cela
raffermira votre position et renforcera votre détermination à collecter vos
fonds de démarrage. En lisant leurs histoires, vous devez vous dire : « si ceux-là l’ont fait, pourquoi pas
moi ? »
Exemple International : la Multinationale APPLE(financements)
Pour réunir les fonds nécessaires
au lancement, Steve Jobs, âgé de 21 ans, vend
son Volkswagen Combi, Steve Wozniak, 25 ans, sa calculatrice HP-65. L’acte de la fondation d’Apple est signé le
1er avril 1976 par Steve Jobs, Steve Wozniak et Ronald Wayne. Moins
de deux semaines après, Wayne se sépare des deux Steve et récupère sa mise
mais, très vite, un élément va apporter un coup d’accélérateur à Apple : Mike
Markkula, un business Angel californien,
apporte 250 000 dollars à la nouvelle compagnie, en plus d’un business
plan. Wozniak et Jobs se mettent au travail dans le garage de la maison
familiale de ce dernier, à Los Altos, où, avec quelques proches, ils assemblent
les cinquante premiers Apple que Steve Jobs a vendus au magasin Byte Shop de Menlo Park. Source Wikipédia
Exemple National : le groupe NSIA Assurance-Banque (financements)
«Lorsque
vous voulez créer une entreprise, il faut faire les choses à sa mesure. Si vous
avez 100.000 fcfa, vous n’allez pas créer une compagnie d’assurances, ni une
banque parce que le capital minimum, c’est des milliards fcfa. Vous devez aller
dans un secteur où on peut créer avec 100.000 fcfa. Ou bien vous vous regroupez avec des copains pour créer
l’entreprise que vous voulez, avec les moyens qu’il faut. Il ne faut pas
cracher plus haut que son nez. Il faut savoir mesure garder. Si vous n’avez pas les moyens de créer une
usine, commencez par vendre des galettes. C’est ce qu’ont fait d’autres
personnes. Elles ont vendu des cigarettes et petit à petit … Il faut faire
des sacrifices. Ne pas dépenser les premiers bénéfices tout de suite. Il faut
l’investir. …Comme je vous l’ai dit, ce sont des entrepreneurs qui vont
intervenir. Rien que des entrepreneurs. Jeunes, moins jeunes, vieux, ils
viendront donner leur expérience de la vie. Je ne connais pas l’expérience de
chacun. Je peux donner ma propre expérience. J’étais employé, dirigeant d’une
entreprise multinationale, bien payé, bien traité avec voiture, chauffeur,
logé. J’avais tout et un beau matin en
réfléchissant, je me suis dit, pourquoi pas moi ? Si les autres ont fait,
pourquoi pas moi ? Surtout que je venais de participer à la rédaction du
code Cima à l’époque qui faisait une ouverture à l’intégration régionale des
compagnies d’assurances. Et qui mettait en place une réglementation unique pour
14 pays africains. C’est unique dans le monde. Même les pays européens ne l’ont
pas. … J’ai trouvé que c’était une opportunité, avec la rédaction du Code Cima,
de créer une entreprise qui pourra aller ailleurs et dupliquer la même chose.
J’ai osé à un moment donné. J’ai abandonné tous mes privilèges et fait le saut.
Certains m’ont dit que je faisais une “connerie”.
Je me suis entêté. Dès le départ, j’ai pris des gens chevronnés, de haut niveau
et non une entreprise africaine qui n’est pas compétitive, incapable de
rivaliser avec les autres, malgré un capital réduit, j’ai osé le faire.
D’autres m’ont dit, il faut aller tout doucement, j’ai dit non je vais fort. Je
suis allé fort. Ça a failli me coûter cher à un moment donné. Je n’avais plus que
50 millions fcfa dans les caisses. Je craignais de ne pas pouvoir payer le
personnel. On a dû faire une
augmentation du capital qui était de 300 millions fcfa. J’ai parcouru Abidjan
pour trouver des gens pour m’aider. J’ai fait appel à d’autres personnes pour
entrer dans le capital. Ensuite, petit-à-petit, en gérant d’une manière
serrée, avec rigueur, nous avons pu remonter la pente, et aujourd’hui, nous
sommes ce que nous sommes. Les premiers qui ont participé au capital de cette
société ne regrettent pas. Une affaire dans laquelle ils ont mis 600 ou 700
millions fcfa, vaut environ 200 milliards fcfa. Si moi qui ne suis pas très
intelligent, je l’ai réussi, beaucoup d’entre vous peuvent réussir à le faire.
Il faut faire adhérer le personnel à votre vision, sinon vous ne réussirez pas
», Jean K DIAGOU lancement 1er Forum CGECI Academy
Exemple National Micro entreprise : Commerce de cosmétiques et de parfums de Mélissa Kossonou (financements)
« J’ai toujours été attirée par les affaires. Dès le collège, je voulais créer ma propre entreprise. Ma mère ne me soutenait pas ; elle voulait plutôt que je continue mes études. Alors, pour trouver les fonds de démarrage, j’ai décidé de faire des économies sur l’argent des frais de transport qu’elle me donnait chaque jour pour me rendre à aller l’école. J’ai donc entrepris de marcher tous les jours pour me rendre à l’école et épargner cet argent. Je faisais 2 heures de marches tous les jours de mon quartier Yopougon Wassakara jusqu’à mon collège Offoumou Yapo. A la fin de l’année scolaire, j’ai pu réunir la somme de 15 000 fcfa. J’étais en classe de 3ème. Avec cet argent, j’ai acheté des bouteilles de parfums afin de les revendre. C’est comme ça que j’ai démarré mon commerce. Grâce à ce commerce, j’ai pu payer mes frais de scolarité les trois (03) années suivantes. Aujourd’hui, je suis en deuxième année de licence en droit. » Interview Melissa Kossounou/Cabinet AMP
Voilà quelques exemples que vous pouvez suivre pour trouver des financements et démarrer enfin votre entreprise. Mettez-vous en marche, votre destin est dans votre main. Soyez pragmatique et concret.
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idées originales de business Temps de lecture: 3 m 30s
Idées originales de business : aujourd’hui on va parler de la raison pour laquelle certains parmi vous n’arrivent pas à avoir des idées originales de business.
Je fais cet article pour deux catégories de personnes. Primo, je m’adresse à ceux qui ont parfois un peu d’argent de côté mais qui disent qu’ils ne savent pas dans quoi investir. Deuzio, je fais cet article pour ceux qui ont déjà lu des livres sur l’entrepreneuriat ou qui ont suivi des cours en entrepreneuriat, et donc qui connaissent plus ou moins les bases. Ce sont des gens à qui on a dit de bonnes idées de business, ce sont des produits ou des services qui satisfont un besoin ou qui sont tout simplement des solutions à un problème constaté sur votre marché. Et à qui on a dit aussi qu’il faut éviter de faire du mimétisme en affaires. C’est-à-dire faire du copier-coller du business des autres.
Donc vous savez déjà tout ça. Mais votre problème c’est que bien que vous sachiez ce qu’il faut rechercher, vous continuez de ne rien trouver. Nothing, Nada, Zéro. Vous ne trouvez pas d’idées originales de business. C’est comme si votre vue était bouchée. Comme si vous étiez aveugles. C’est là votre difficulté.
Eh bien ! A vous qui avez ce type de problèmes, vous saurez dans cet article pourquoi cela vous arrive. Et surtout comment corriger ce fait, pour devenir une personne hyper florissante en idées de business rentables. Et enfin investir votre argent dans quelque chose de vraiment valable.
Alors on va dans le vif du sujet : pourquoi vous n’arrivez pas à trouver des idées originales de business ? Eh bien ! La raison est toute simple. C’est parce que vous ne visualisez pas le scénario idéal à chaque fois que vous vous retrouvez dans un endroit, dans votre entourage, ou dans votre quotidien.
En fait, vous n’arrivez pas à détecter facilement des idées de nouveaux produits, de nouvelles solutions parce que vous cherchez des idées originales de business en vous focalisant uniquement que sur une seule situation : LE PRESENT. Vous observez uniquement l’actuel, le présent qui se déroule sous vos yeux. C’est exactement ce qu’il ne faut pas faire.
Ce que vous ne savez pas, c’est que le moyen le plus facile pour l’homme de détecter un problème ou un besoin dans ce monde présent, c’est de faire une comparaison avec un monde futur idéal. Il lui faut absolument deux images. Si vous n’avez pas l’habitude de visualiser un monde idéaldans lequel vous aimerez vivre, vous ne pourrez jamais, je dis bien jamais, détecter un problème ou un besoin dans le monde présent. Donc bien sûr, vous ne pourrez pas apporter des solutions grâce à vos produits et à vos services. Donc ne pas avoir deux images en visuel au moment où vous analysez le présent est la raison principale pour laquelle vous ne pouvez pas détecter de nouveaux besoins dans votre marché. Je m’explique.
Prenons comme exemple le jeu des 7 erreurs. Vous connaissez tous ce genre de jeu. Dans le jeu des 7 erreurs, il s’agit de présenter deux images qui semblent identiques à première vue. Il y a une image qui est la bonne et l’autre la mauvaise qui comporte des erreurs. Le but du jeu est donc de trouver les erreurs ou les différences qu’il y a entre la bonne et la mauvaise image. Donc généralement les gens arrivent facilement à trouver les erreurs. Pourquoi ? Suivez bien le principe du jeu. Je vous ai dit qu’on compare deux (02) images pour détecter les erreurs dans l’une des images.
Maintenant imaginez qu’on vous donne uniquement que l’image fausse. La mauvaise qui comporte des erreurs. Et on ne vous donne pas l’autre, la bonne. Et on vous demande de détecter les erreurs en vous servant uniquement que de la seule image. Comment allez-vous faire ? Comment vous pouvez savoir que ça, ça et ça , ce sont des erreurs si vous n’avez pas l’autre image pour comparer et trouver les différences. Comment ? Dites-moi comment ?
Voyez-vous, c’est impossible de détecter les erreurs sans voir la bonne image en face de vous. Eh bien ! C’est exactement ce que vous faites quand vous cherchez un problème à résoudre dans votre entourage ou quand vous cherchez une idée de business dans votre environnement actuel sans avoir une image de la situation idéale en face de vous.
Si vous manquez de visualiser souvent un monde idéal, il vous sera impossible de détecter des anomalies. Et donc il vous sera aussi difficile de changer votre monde actuel avec de nouveaux produits ou des services innovants.
Ce que vous devez savoir, c’est que dans le monde des affaires ce sont les idéalistes qui sont toujours les grands entrepreneurs, les grands bâtisseurs comme les Thomas Edison, les Henri Ford. Ce ne sont pas forcément les plus fortunés. Les plus fortunés sont souvent les plus sages en ce qui concerne l’utilisation de l’argent ou les plus cupides, ils sont généralement de grands hommes d’affaires ou de grands investisseurs mais rarement de grands entrepreneurs ou de grands bâtisseurs. Les grands bâtisseurs et les grands entrepreneurs sont tous des grands idéalistes. Partout ils passent, ils aiment imaginer le monde qui les entoure différent, plus agréable, plus beau, plus facile, plus gaie, etc. Et donc c’est grâce à cette deuxième image plus idéale qu’ils arrivent à détecter plus facilement les problèmes dans notre monde actuel et donc à développer des solutions qui deviendront par la suite ce qu’on appelle des produits ou des services.
Donc c’est simple. Pour détecter une opportunité de nouveau produit dans votre environnement actuel, suivez ces deux étapes. Un. Dès que vous entrez dans un lieu que vous voulez améliorer, commencez par visualiser l’idéal que vous aimeriez obtenir. Si c‘est une personne que vous aimeriez améliorer, essayez de visualiser le corps ou le comportement idéal que vous vouliez que la personne ait. Puis, seconde étape. Vous fixez dans votre tête cette image idéale et vous la comparez avec l’endroit, la personne, le comportement ou l’outil que vous voulez améliorer. Et vous essayez maintenant de détecter et de noter toutes les différences entre votre monde présent et la version idéale que vous avez imaginé dans votre tête. Voilà donc comment vous pouvez trouver et développer de nouvelles idées de produits ou de services.
Pour vous aider à développer cette façon de penser, faites un exercice simple. Désormais quand vous allez dans un service public ou chez un prestataire privé, essayez de visualiser quel service idéal vous auriez aimé bénéficier. Vous allez voir qu’automatiquement vous allez commencer à détecter ce qui ne va pas dans ce service. Et vous pourrez alors travailler sur des pistes de solutions.
C’est comme ça que des ingénieurs comme le Britannique James Goodfellow ont pu inventer la machine à billet que de nombreuses personnes utilisent aujourd’hui. Pour lui c’était simple, ils pensaient à un service idéal pour les gens qui travaillaient en semaine et qui ne pouvaient pas se rendre à leur banque.
Voilà donc ce que je voulais partager avec vous pour avoir des idées originales de business
Pour résumer, soyez un idéaliste dans tout ce que vous observez autour de vous et vous pourrez facilement détecter ce qui ne va pas et donc des opportunités de nouveaux produits et services à mettre sur le marché. Voilà c’est simple.
Je l’ai écrit d’abord pour ceux qui ont connu des échecs dans leurs entreprises pour les chefs d’entreprise qui ont des difficultés de vente en ce moment pour les salariés qui n’arrivent plus à vivre correctement de leurs revenus et qui souhaitent entreprendre une affaire pour obtenir des revenus complémentaires en enfin j’ai écrit ce livre pour tous les sans-emplois qui cherchent à se former avant d’entreprendre un business.
Ce livre vous montrera deux choses. D’abord, il va vous montrer comment choisir un business rentable et aussi comment développer une stratégie pour accroître votre profit et vos revenus avec votre entreprise ; et pleins d’autres conseils.
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comment prospecter sur le terrain Temps de lecture : 2min 40s
comment prospecter sur le terrain : « Bonjour Coach, y a-t-il un autre moyen de prospecter les clients potentiels sans être obligé de prospecter sur le terrain ? Parce que ça nous revient cher d’assurer les frais de de déplacements des commerciaux pour peu de résultats de vente. » Voici la préoccupation d’une patronne de PME à Abidjan. Ça vous parle ?
Généralement, quand vous démarrez votre petite entreprise, vous n’avez qu’une seule voiture (celle du fondateur ’’sacrifié’’) pour toutes les courses administratives ; et quand cet unique véhicule n’est pas disponible, vous êtes obligé de demander aux commerciaux de rester confiner aux bureaux en attendant que votre trésorerie soit moins tendue. Malheureusement, au moment, des bilans périodiques mensuels, le service commercial justifie les mauvais résultats de vente par le fait que vous ne leur donnez pas les moyens pour aller prospecter. Et ils ont raison !
Or, quand ils sortent démarcher, c’est au minimum 10.000 FCFA par jour juste pour faire la prospection commerciale d’un ou deux clients potentiels. Aucune vente à la clé en fin de période. Vous êtes conscient que sans prospection commerciale, pas de vente. Comment concilier budget et efficacité de la prospection commerciale ? Voici le dilemme auquel sont confrontées les jeunes entreprises qui ont peu de moyens financiers pour promouvoir leur service.
Comment démarcher et obtenir des entretiens face à face sans vous épuiser financièrement ? La réponse est : « article texte ».
En rédigeant des articles textes percutants, vous avez l’opportunité d’avoir une conversation virtuelle avec vos prospects. Là en ce moment, vous lisez mes mots comme si vous étiez en face et que je vous parlais. C’est ça la force des articles textes.
Avec des articles textes, vous n’avez plus l’obligation d’obtenir un tête-à-tête pour convaincre avec votre prospect. Vous êtes l’article, et votre prospect qui est en face de vous est le lecteur. Ceci est particulièrement vrai pour la plupart des produits professionnels qui ont besoin d’explication ou d’éducation pour que le prospect comprenne mieux la valeur de vos produits.
Ainsi, votre budget de démarchage (frais de transport et appels téléphoniques) sera réduit. Vous ne déplacez que pour conclure la vente.
Pourquoi les champions de la vente aiment écrire des articles textes pour acquérir de nouveaux clients ?
L’article texte est un atout considérable pour générer rapidement une vente. En effet, s’il est bien est rédigé, l’article texte agit comme un filtre attractif. Il permet d’attirer uniquement des prospects qui ont besoin de vos produits et services.
Il vous permettra de créer une perception de besoin indispensable de la solution produit que vous présentez à de nombreux vos prospects à la fois. Cela multiplie vos chances de vendre par 100 voire 10.000. Car, à la fin de cet article, j’aurais eu l’occasion d’avoir un tête-tête de 5 minutes avec tous ceux qui liront cet article.
Voilà donc le secret des champions de la vente pour réaliser 100 rendez-vous commerciaux face à face par jour avec prospects intéressés.
C’est la raison pour laquelle dans le module de vente de notre formation à l’entrepreneuriat, nous avons intégré un cours d’écriture commerciale. Cela donne à nos aspirants entrepreneurs du secteur des services aux entreprises les outils pour vendre avec peu de moyens financiers.
Voilà c’était mon conseil du jour sur comment prospecter sur le terrain. Passez une bonne journée.
Je termine toujours en disant à ceux qui me lisent pour la première fois notamment en qui concerne la section MARKETING. Que si vous voulez apprendre des techniques pour vendre plus, je vous recommande de vous abonner à mon site internet dans la section MARKETING en cliquant ici
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J’insiste car nous sommes bel et bien dans la section MARKETING. Donc même si vous êtes abonné sur le site mais à une autre section, il faut vous abonner à nouveau mais cette fois-ci dans la section MARKETING ici
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