Vole d’idées d’entreprises Temps de lecture : 1min 55s
Vole d’idées d’entreprises : vous avez trouvez une idée d’entreprise géniale et originale. Vous pensez que cette idée va révolutionner le monde des affaires mais il y a couac : vous n’avez pas d’argent pour mettre en œuvre cette superbe idée. Vous envisagez de la présenter à un investisseur ou à un établissement financier pour qu’il finance votre projet d’entreprise mais vous redoutez qu’on vous pique votre idée. Comment faire pour ne pas que des investisseurs vous piquent votre idée ? Voici mon avis que la question.
Pour ce qui est du vole d’idées d’entreprises, vous êtes moins exposé au plagiat que vous ne pensez
D’après vous qu’est ce qui est plus facile dans le vole d’idées d’entreprises : un produit ou un service qui est déjà présenté au public ou l’idée d’un produit à venir ? Evidemment que c’est le produit ou le service qui est déjà réalisé qui est le plus exposé au vole d’idées d’entreprises. Que ce soit un nouveau modèle de vêtement ou un nouveau service, les entrepreneurs qui réalisent leurs projets sont plus exposés au vole d’idées d’entreprises que vous qui avez encore votre idée en boîte. L’exemple le plus palpable en Côte d’Ivoire est celui de secteur de la téléphonie mobile. Quand une des sociétés fait sortir un nouveau produit, tous les autres concurrents copient le concept : ORANGE MONEY, MTN MONEY, FLOOZ MOOV, etc. Pourtant ces entreprises n’ont pas peur du plagiat. Quand elles ont une idée de produit ou de service, elles la réalisent, point barre.
C’est cette attitude que vous devez adopter car, il ne sert à rien d’avoir peur. Puisque de toute façon même si vous réalisez votre idée, d’autres essayeront de vous la piquer ou la reproduire soi-disant avec des notes de différences. Surtout si votre produit devient célèbre. Vous n’aurez donc pas surpassé le vole d’idées d’entreprises.
Pour protéger votre idée,
les organismes de protections des brevets d’invention vous demanderont aussi de
la réaliser.
En effet, l’Office Ivoirien
de la Propriété Intellectuelle vous demandera un échantillon de votre invention
pour accepter votre brevet d’invention avec une explication détaillée de votre
système. Que vous soyez écrivain ou artiste, vous ne pouvez pas posséder des
droits d’auteurs si vous ne fournissez pas au moins un exemplaire de votre
livre ou de votre œuvre musicale au Bureau Ivoirien des Droits Auteurs. Comme
vous le constatez, si vous n’avez pas mis en œuvre votre idée de produit, il
vous sera impossible de remplir les conditions de protection de votre œuvre
intellectuelle.
Cessez donc d’avoir peur et concentrez-vous à mettre en œuvre votre idée.
Voilà, je termine toujours en disant à ceux qui me lisent pour la première fois notamment en qui concerne la section ENTREPRENEURIAT. Que si vous voulez apprendre des techniques pour créer votre entreprise, je vous recommande de vous abonner à mon site internet dans la section ENTREPRENEURIAT en cliquant ici
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N’oubliez pas également de laisser un commentaire sous cet article conseil s’il vous a plu ou de la partager. Je vous dis à très bientôt pour un prochain article. Bye Bye !
Mais ce que vous devez savoir, c’est qu’au-delà de l’aspect commercial, je me dois de vous donner mon opinion sincère sur ce sujet. Donc je le répète, on n’a pas besoin de se former avant d’entreprendre pour se mettre à son propre compte.
Pourquoi je le dis ? Parce que l’entrepreneuriat n’est
pas une science exacte. Ce n’est pas 1+1 = 2. Pour réussir en entrepreneuriat il
vous faut deux choses :
L’EXPERIENCE
Un très bon ETAT D’ESPRIT
C’est
quoi l’expérience ? L’expérience c’est tout simplement
pratiquer quelque chose, se tromper, tirer les leçons de ses erreurs et enfin
les corriger. Pour faire simple, l’expérience c’est apprendre par l’échec. Ceux
qui ont réussi en Entrepreneuriat vont souvent vous dire que leurs débuts
étaient difficiles, qu’ils ont connu souvent des échecs. On essaie, on se casse
la tête, on tire les leçons et on recommence jusqu’à ce qu’on réussisse. C’est
tout bête, mais c’est comme ça.
Maintenant le deuxième élément de succès en entrepreneuriat, c’est le bon état d’esprit. Les
entrepreneurs à succès vont très souvent vous parler de persévérance, de
rigueur, de discipline, ou encore de cultiver l’humilité ou la passion. Il faut
donc aussi acquérir ces valeurs-là pour réussir en business.
Donc se former avant d’entreprendre n’est pas du tout indispensable. Parce que les deux éléments nécessaires pour réussir dans ce domaine que sont l’expérience et le bon état d’esprit, peuvent s’acquérir sans aller prendre des cours obligatoirement chez quelqu’un.
Maintenant mon conseil personnel est le suivant : Il est toujours bon de se former avant d’entreprendre pour vous mettre à votre propre compte. Ce n’est pas indispensable, mais c’est mieux de le faire.Pourquoi je le recommande ?
Eh bien c’est simple ! Si je vous recommande de vous former en entrepreneuriat avant de vous mettre à votre propre compte, c’est tout simplement pour vous aider à réduire ; je dis bien réduire le prix que vous allez devoir payer pour acquérir l’expérience et le bon état d’esprit. Le prix à payer de l’inexpérience, c’est quelque chose que vous évaluez très mal.
C’est vrai que la
formation n’est pas indispensable pour entreprendre. Mais ce qu’il faut savoir,
c’est que ça coûte très cher d’acquérir les compétences d’entrepreneurs sans
formation.
D’abord, ça va
vous coûter de l’argent, beaucoup d’argent. Je m’explique. Je vous ai dit tout
à l’heure que pour gagner en expérience, il faut apprendre par l’échec. Les
gens aiment bien les citations du genre « l’essentiel
ce n’est pas de tomber, mais c’est de se relever » ou d’autres paroles
du même genre pour vous motiver. Ok c’est bien tout ça.
Mais ce qu’on ne
vous dit pas souvent, c’est qu’on ne sort pas d’un échec en Entrepreneuriat
comme si on sortait d’un diner gala. Ah ça ! Il faut se le mettre dans la tête
une bonne fois pour toutes !
Vous devez savoir que quand on ferme une entreprise parce que ça ne marche pas, c’est ce qu’on appelle la faillite. La faillite ça veut dire beaucoup de dettes. La faillite, ce sont des loyers impayés, ce sont des arriérés de salaires, ce sont des fournisseurs qui vous traquent. La faillite c’est aussi l’administration fiscale qui vous pourchasse. Ah oui ! Il faut savoir que 99% des entrepreneurs qui échouent sont généralement endettés.
En plus, après
ça, vous n’avez plus rien comme capital. Donc quand les gens vous disent de
vous relever après un échec, c’est bien beau, mais avec quel argent ? C’est ça
! Souvent vous n’avez plus rien. C’est ce qui fait que beaucoup d’entrepreneurs
abandonnent.
Moi j’ai créé
neufs (9) entreprises, j’ai échoué six (6) fois avant de trouver la bonne
combinaison. Mais ces échecs-là m’ont coûté énormément. Voilà pourquoi je vous
recommande de vous former avant d’investir le moindre centime quelque part.
Formez-vous auprès des gens qui ont de l’expérience.
En fait, ce qu’il faut savoir, c’est que les gens qui ont
de l’expérience ont déjà payé le prix des erreurs pour vous. Donc quand ils
vous forment, ils vous évitent de perdre votre argent à votre tour. Voilà
comment vous allez ainsi réduire le coût de votre apprentissage par l’échec.
Maintenant, je vous avais dit aussi qu’il vous fallait
acquérir le bon état esprit pour réussir. Mais ça s’apprend comment ? On développe le bon état d’esprit en côtoyant
les personnes qui ont déjà eux-mêmes ce bon état d’esprit. Par exemple, si
vous avez décidé d’aller à une manifestation avec quelqu’un qui est très
ponctuel. Vous allez voir que cette personne va vous mettre la pression pour
arriver à l’heure. C’est comme ça que ça fonctionne. Vous voulez rire
aujourd’hui, côtoyer des gens qui aiment rigoler.
Mais malheureusement, vous pouvez ne pas avoir tous ces
types de personnalités autour de vous. Il y a des gens qui n’ont pas du tout un
bon entourage. C’est en cela que les bons programmes d’entrepreneuriat
proposent des services de coaching, de mentoring ou de développement personnel.
Un mentor, un coach, un motivateur, ce sont des professionnels que vous allez
payer pour vous aider à développer le bon état d’esprit.
En conclusion, voici ce que qu’il faut retenir comme réponse à la question de savoir s’il est indispensable de se former avant d’entreprendre. Il n’est pas du tout indispensable de se former avant d’entreprendre un business. Mais il est préférable de le faire. Si vous vous lancez dans un business sans formation, vous risquez de supporter des coûts très élevés pour acquérir les deux éléments nécessaires pour réussir en affaires : l’expérience et le bon état d’esprit.
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Aujourd’hui,
je voudrais partager avec vous UNE LOI DIVINE SIMPLE pour MULTIPIER SES BIENS. Cette loi est une vérité scientifique. C’est
un véritable don gratuit que Dieu met à notre disposition pour ne pas manquer
d’argent dans notre vie. Vous verrez que c’est tout à fait banal. Pourtant c’est l’une des moins appliquées
par ceux qui se plaignent d’avoir des difficultés financières.
Tout d’abord, si vous avez des difficultés financières en ce moment, j’ai un conseil à vous donner : cessez de vous plaindre, c’est normal. Je sais que ça frustre de courir tout le temps après l’argent. Mais c’est normal d’avoir besoin constamment de ressources financières. Aucune créature vivante sur cette terre n’échappe à cette règle : hommes, animaux, végétaux et même parasites, TOUS, nous avons un besoin permanent de consommer des ressources matérielles, sinon nous mourons.
Ce qui a changé pour nous les hommes, dans l’économie moderne, c’est la forme de la ressource. De nos jours c’est l’ARGENT. Pour acquérir les ressources nécessaires à notre consommation, il nous faut de l’argent. La forme a changé, mais le besoin de consommation est, et sera toujours constant, jusqu’à ce que vous quittiez cette terre. Cessez donc de vous plaindre du fait d’avoir toujours besoin d’argent, ça ne changera pas, c’est comme ça.
La question que vous devez vous plutôt vous poser c’est celle-ci : si Dieu nous a créé avec un besoin constant de consommer des ressources pour vivre, qu’a-t-il prévu pour que nous ne manquions jamais de ces ressources-là ? Autrement dit, si nous avons toujours ce besoin incessant d’argent pour vivre , qu’est-ce que Dieu a prévu pour que tous les hommes disposent de ressources en quantité suffisante ? Trouver la réponse à cette question et vous ne verrez plus votre pauvreté de la même manière. Vous verrez que c’est nous-mêmes qui nous mettons dans des situations financières difficiles. Je vais vous révéler maintenant ce que Dieu a prévu pour nous depuis la création du monde.
Voyez-vous ! DIEU dans son infinie Bonté et dans son infinie Intelligence, a prévu un système parfait pour que l’homme dispose de ressources illimitées pour vivre. Dieu a intégré dans chacune de ses créatures ce qu’on appelle un système de reproduction. C’est une vérité scientifique, et c’est également une vérité biblique (Genèse chapitre 1. Versets 11-12).
Chaque créature de Dieu dispose d’un système de reproduction interne. Ce système de reproduction peut prendre la forme d’un noyau, d’un pépin, d’une semence, d’une graine ou d’un système d’ovulation comme chez la femme ou chez les mammifères. Par conséquent, cela signifie que toutes les ressources que vous voyez possèdent deux (02) parties. Une partie à consommer pour vivre. Et une partie, une semence ou une graine pour la reproduire en quantité presque illimitée.
Dieu a conçu toutes ces créations de cette façon sur la terre. Surtout celles qui sont indispensables pour l’homme. Dieu a fait ça pour nous donner la possibilité de nous nourrir et de vivre sans jamais manquer de ressources, tant que nous sommes sur terre.Donc l’homme, ayant compris plus tard cette loi, commença à semer les noyaux des fruits pour les reproduire et ne pas manquer de ressources pour vivre.
Cette loi est donc simple : VOUS avez une ressource que Dieu vous donne. Cette ressource contient deux parties : une pour consommer, une pour la reproduction. Si vous voulez multiplier cette ressource, vous prenez la partie pour la reproduction et vous la semer. J’ai appelé cette loi « Garder le noyau pour semer ». Ça me fait penser au forum « Epargnerpourentreprendre » de mon ami Pierre Fabrice Adon.
Tant que l’homme vivait comme ça, il ne manquait de rien. C’est l’abandon de cette loi simple qui va conduire certains hommes et VOUS conduire petit à petit à la pauvreté, à être à court d’argent. Je m’explique.
Avec l’apparition de l’économie moderne, avec l’apparition notamment de l’argent, la plupart des hommes vont abandonner cette loi simple. Vous allez adopter deux (02) mauvais comportements qui vont vous rendre constamment pauvres.
Voici une illustration simple pour mieux comprendre cette notion. Disons que je prends une orange. Cette orange représente l’ancienne économie quand l’argent n’existait pas. Et puis, je prends un billet de banque qui représente l’économie moderne, l’économie de nos jours. Dans l’économie ancienne, si vous n’avez pas suffisamment d’oranges, vous appliquez simplement la loi que je viens de vous donner « Garder le noyau pour semer ». Et vous vous retrouverez plus tard avec un oranger, puis de nombreuses oranges. Le tour est joué. Maintenant, on prend le billet de banque que Dieu vous donne aussi. Vous trouvez que vous n’en avez pas suffisamment. Vous voulez le multipliez. Au lieu d’appliquer la même loi qu’avec l’orange. Que non ! Vous allez faire deux choses complètement insensées.
LA PREMIERE : vous allez manger l’orange avec les pépins c’est-à-dire que vous « mangez » tout votre argent. C’est-à-dire que vous mangez à la fois la partie à consommer et la partie prévue pour la reproduction.C’est ce que font la plupart des croyants qui ont des difficultés financières. Sous prétexte que l’argent n’est pas suffisant, vous consommez tout : la pulpe et le noyau. Après, vous priez Dieu. Mais Dieu vous a déjà donné de quoi vivre en abondance ; et vous l’avez mangé. Maintenant passons à la deuxième chose encore plus insensée.
LA DEUXIEME : vous conservez les pépins de
l’orange dans une boîte en espérant que ça pousse tout seul. C’est ce que vous
appelez l’épargne. Il n’y a rien de plus insensé à faire pour quelqu’un qui a
des difficultés financières. Un noyau est fait pour être semé. Si tu le
conserves comme ça, si tu ne le mets pas en terre, il va pourrir. C’est pareil pour
votre épargne. J’ai déjà traité le cas de l’épargne insensée ; je n’y
reviendrais plus.
Mais attendez, vous-mêmes réfléchissez un peu. Permets-moi de te tutoyer pour te parler franchement. Attends, tu n’as rien. Tu as une seule orange. Tu te plains que ça ne suffit pas. Toi au moins, tu fais l’effort de manger la pulpe de l’orange et tu gardes les pépins. C’est-à-dire que tu épargnes. Mais au lieu de semer les pépins, tu vas les donner à un banquier. Et tu penses que ce banquier-là, comment gagne-t-il son argent? Tu penses qu’il laisse ton argent là comme ça et puis ça augmente seul. Le banquier sème tes pépins. Le banquier investit. Le banquier ne laisse pas ton argent dormir. (Pour les chrétiens, lisez Mathieu 25 : la parabole des talents). Voilà pourquoi il s’enrichit et pas toi. Cette loi est simple : Garder le noyau pour semer.
Maintenant, vous pouvez me dire que vous ne savez pas comment planter un noyau pour obtenir un arbre plein de fruits. Autrement dit, vous ne savez pas comment investir votre épargne pour accroître votre richesse. La réponse est simple : quand on ne sait pas comment semer et cultiver une plante, on va l’apprendre auprès d’un cultivateur. N’ayez donc pas peur d’utiliser votre épargne pour vous former et apprendre. C’est la solution la moins risquée pour vous. Sinon, vous risquerez de gaspiller votre noyau en tentant de semer et de cultiver vous-même sans apprentissage.
En conclusion, ce que vous devez retenir aujourd’hui si vous avez des difficultés financières, c’est que vous devez systématiquement détacher DE TOUT CE QUE VOUS GAGNEZ une partie appelée « le noyau ». Ce noyau, vous devez le semer pour accroître vos revenus. Si vous ne savez pas comment vous y prendre pour semer, investissez d’abord dans la formation pour apprendre. C’est aussi bête que ça. Vous ne connaissez pas, apprenez : payez des livres, suivez tous les cours qui sont susceptibles de vous permettre de gagner plus. Ne laissez pas l’argent modifier votre comportement et vous rendre pauvre au finish.
Pour ceux qui sont chrétiens, laissez-moi vous
dire que c’est l’une des raisons pour lesquelles le Seigneur JESUS CHRIST l’a
appelé « l’argent trompeur ». L’argent est quelque chose qui trompe
la vigilance des croyants, qui dénaturent vos comportements. C’est un bon
serviteur mais un mauvais maître. Un Maitre c’est celui qui guide, qui oriente.
Mais l’argent guide mal, il désoriente. Désormais, à chaque fois que vous
recevez un billet de banque, voyez en lui un fruit en deux parties : une
partie à consommer et une partie à semer.
Avant de terminer, je voudrais lancer un petit avertissement pour ceux qui me lisent pour la première fois ! Je prodigue des conseils en développement personnel depuis plusieurs années, et plusieurs lecteurs me suivent et évoluent avec moi. C’est pourquoi je ne reviens pas délibérément sur certaines notions que j’ai déjà expliquées dans des précédents articles ou vidéos. Pour éliminer les éventuelles zones d’ombres, comprendre mieux, et pour recevoir des conseils sur la prospérité financière selon les voies de Dieu, cliquez ici pour nous dire l’adresse à laquelle vous souhaitez les recevoir.
Démissionner ou non se lancer et réussir dans l’entrepreneuriat Temps de lecture : 2min 22s
Démissionner : c’est une question qui revient assez souvent parmi les aspirants entrepreneurs notamment les cadres salariés des grandes entreprises qui nous contactent. A un moment de votre carrière, vous avez le sentiment de stagner, les besoins quotidiens deviennent supérieurs à vos revenus mensuels et les promotions dans l’échelle de la hiérarchie de l’entreprise ont peu de probabilité de survenir. Dans ces moments-là, vous envisagez sérieusement de créer votre propre entreprise et gagner de hauts revenus. Vous pensez à démissionner mais vous avez peur de cette inconnue : Est-ce que ma boîte va marcher ? Comment vais-je vivre si ça ne marche pas ? Si vous avez des doutes sur l’opportunité de démissionner ou pas, voici ce que je vous conseille.
Démissionner sans de quoi vivre : ça jamais, jamais, jamais !
Quand vous lancez votre entreprise, imaginez qu’elle est
similaire à un champ ou une plantation que vous venez de créer. Il y a d’abord
le défrichage, la mise en terre des semences, l’arrosage et l’entretien de vos
plants jusqu’à ce que les premiers fruits apparaissent. Et parmi ces premiers
fruits il y aura des bons et des mauvais fruits. Pendant toute cette période il
faut vivre.
En effet, jusqu’à ce que les premiers fruits de votre
entreprise apparaissent, vous devez continuer à subvenir à vos besoins
quotidiens. En règle générale, il faut prévoir une réserve d’autonomie de 2 ans
pour une bonne marge de sécurité ou 9 mois de votre salaire au strict minimum (en
comptant sur le Seigneur pour que les fruits apparaissent vite. C’est pourquoi,
je vous recommande de constituer une épargne solide de deux années de votre
salaire avant de démissionner de votre entreprise.
Si vous vous lancez sans avoir une épargne suffisante pour
subvenir à vos besoins avant l’arrivée de premiers fruits, vous serez sans
doute contraint à manger les tiges de vos plants quand la faim sera là. A dieu donc
la plantation ! Au pire des cas, et c’est ce qui arrive le plus souvent,
vous allez redéposer vos demandes d’emplois en entreprise dans le but de
retrouver un travail et des revenus à nouveau réguliers.
Personnellement, j’ai épargné 250 000 FCFA par mois sur un compte bloqué à la Banque BIAO pendant 5 ans avant de me lancer dans l’entrepreneuriat à temps plein. Cette épargne est partie en fumée pendant toute la période d’attente des premiers fruits de mon entreprise. Sans cette épargne je n’aurais pas tenu. Par conséquent, démissionner sans épargne, n’y pensez même pas, même en rêve.
A ce moment, vous vous dites sûrement : « à
cette allure, ce n’est pas pour demain le travail à mon propre compte »
puisque si vous êtes comme la plupart des salariés, vous n’avez sans doute pas
d’épargne ou du moins très peu.
Comment constituer une épargne alors qu’on a à peine de quoi vivre heureux au cours du mois ?Ce que mon mentor m’a enseigné
C’est à ce genre de questions « insolubles » que
les mentors servent à répondre. Ils sont passés par là avant vous. Comme je
l’ai indiqué dans une interview accordée à Lentrepreneuriat.net j’ai eu deux
mentors, le premier, humain, fut mon parrain, oncle et témoin de mariage
l’expert-comptable SALE KOUASSI décédé le 20 octobre 2005 (RIP). Il ne me reste
que mon second mentor spirituel qui demeure le plus percutant quoi qu’en pense « Le Seigneur JESUS CHRIST ». Le
Hic ! C’est qu’il communique le plus souvent à travers un livre : la
Sainte Bible. Je profite de cet article pour dire aux aspirants
entrepreneurs de ne pas avoir honte de montrer leur FOI au Dieu Unique ou leurs
croyances religieuses. Les plus grands entrepreneurs à succès ont une très
forte connaissance spirituelle et ne font rien sans l’esprit. Alors, soit vous
faites parties du club des « Diabolos », soit vous êtes du camp des Croyants
en Dieu. Mais soyez à fonds dans l’un ou l’autre.
Pour revenir à moi, c’est dans ma Bible que je recherche
les réponses aux questions difficiles, et il y a toujours un personnage qui a
déjà vécu ce que vous vivez. Dans notre cas des salariés qui veulent constituer
une épargne suffisante afin de se lancer à leur propre compte, il existe un
personnage qui a vécu la même chose que vous. Il s’agit de JACOB, un patriarche
de la Foi et Père fondateur des douze tribus du peuple d’Israël (Référence
Livre de la Genèse chapitre 30, versets 25 à 43).
JACOB travaillait comme berger pour son oncle LABAN, il
voulait prendre désormais son indépendance mais il n’avait aucun bien, ni
argent pour s’occuper de sa famille s’il décidait de quitter son oncle. Alors
qu’a-t-il fait ? JACOB renégocia son contrat salarié avec son oncle. Il
proposa à son oncle de ne pas lui verser un salaire fixe mais d’accepter un
système de rémunération variable. En effet, il proposa ceci : «
Je suis prêt à soigner et à garder ton bétail comme avant. Je vais passer en
revue aujourd’hui tout ton troupeau et je mettrai à part tout mouton qui a des
tâches de couleur, petites ou grandes, tout mouton à la toison foncée et toute
chèvre qui a des tâches, petites ou grandes : ça sera mon salaire. » C’est ainsi que JACOB pu s’enrichir, constituer son propre bétail et prendre
son indépendance.
C’est exactement ce que je propose de faire. Pour gagner
plus, il faut obligatoirement exercer une activité à revenus variables
c’est-à-dire un système qui va vous payer en fonction de votre effort de
travail. Si vous travaillez plus et mieux, vous gagnez plus. Seul ce genre de rémunération
peut vous permettre d’accroître votre revenu. Vous ne pouvez pas gagner plus
d’argent dans un système de salaire fixe puisque comme son nom l’indique votre
revenu est fixe, que vous bossiez jusqu’à minuit pour rendre un rapport à votre
patron, peu importe la quantité de travail que vous abattez vous ne pouvez pas
gagner plus et améliorer votre quotidien.
Le revenu variable est une sorte de transition à la
création de votre entreprise. Car, tout comme l’entreprise, plus vous bossez
plus vous gagner de revenus et plus vous avez la capacité d’épargner.
Vous
devez donc faire comme JACOB : passer du revenu fixe ou revenu variable.
Quelles sont donc les options qui s’offrent à vous ?
Option
1 : Renégocier votre contrat pour intégrer une partie variable à votre
rémunération fixe.
La partie variable doit être liée à votre performance pour
que votre employeur accepte facilement « le deal ». Les postes à
vocation commerciale sont les meilleurs profils. Ainsi que les postes de
production. Exemple : négocier la fabrication ou la livraison d’un nombre
de produits en contrepartie d’une prime Ou négocier un pourcentage sur les
ventes réalisées.
Option
2 : Chercher à exercer votre travail en indépendant
Presque tous les emplois du monde peuvent être exercés en
indépendant pour le compte d’un tiers qui vous paiera en contrepartie. Vous
êtes un salarié comptable dans une entreprise, vous n’avez pas la possibilité
d’avoir une rémunération variable, ce n’est pas grave. Vous pouvez établir la
comptabilité de petites entreprises qui n’ont pas le luxe de s’offrir un
comptable à temps plein. Passez collecter leurs factures chaque soir à la
descente de votre boulot et enregistrez leurs opérations comptables le
lendemain à votre temps libre au bureau.
Les infographistes, les juristes, les fiscalistes, même
une secrétaire peut travailler en indépendant. Beaucoup de Chefs d’entreprise
de très petites entreprises paieraient bien pour que vous rédigiez rapidement
quelques courriers pour eux. Vous pourriez leur transmettre le travail achevé
par courrier électronique moyennant une rémunération par paiement mobile. Tout le monde peut trouver un petit job en
indépendant à revenu variable dans le même domaine dans lequel vous travaillez.
Dans ce cas, tous les revenus supplémentaires que vous gagnerez vous serviront
à garnir votre cagnotte d’épargne pour enfin démissionner.
Pour conclure, ne jamais démissionner pour créer votre entreprise tant que vous n’avez pas un minimum pour vivre en attendant la récolte des premiers fruits. Si votre revenu ne suffit pas à épargner, renégocier votre contrat en intégrant une partie à revenu variable et bossez plus pour gagner plus. Si ce n’est pas possible avec votre employeur actuel, fournissez des services indépendants dans le domaine dans lequel vous travaillez pour des chefs d’entreprises PME qui n’ont pas les moyens d’embaucher un professionnel à temps plein afin de constituer votre cagnotte de départ.
Voilà, je termine toujours en disant à ceux qui me lisent pour la première fois notamment en qui concerne la section ENTREPRENEURIAT. Que si vous voulez apprendre des techniques pour créer votre entreprise, je vous recommande de vous abonner à mon site internet dans la section ENTREPRENEURIAT en cliquant ici
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J’insiste car nous sommes bel et bien dans la section ENTREPRENEURIAT. Donc même si vous êtes abonné sur le site mais à une autre section, il faut vous abonner à nouveau mais cette fois-ci dans la section ENTREPRENEURIAT ici
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Financements : « Bonjour Coach, j’ai pleins d’idées d’entreprises dans la tête mais je cherche des financements pour les mettre en œuvre, pouvez-vous m’aider ? Merci d’avance ». Sur 100 emails que je reçois, au moins 1/5 de ces demandes de conseils concernent le financement de leurs projets de création d’entreprises. Malgré leurs recherches infructueuses auprès des établissements financiers, ils continuent dans la même direction, comme atteint du « syndrome de la mouche ». Pour ceux-là, il faut une thérapie de choc. La voici dans cet article.
En Côte d’Ivoire, il n’y a aucune banque commerciale qui fait des financements aux entrepreneurs au démarrage de leurs projets d’entreprises. A part quelques organismes d’Etat qui vous octroieront des fonds d’aide à la suite de concours dont eux-seuls maitrisent le processus de sélection, vous n’aurez jamais les fonds d’une institution financière pour créer votre entreprise. Mais comment trouver les fonds quand les banques ne prêtent pas pour la création d’entreprise ?
La
méthode la plus efficace est de s’inspirer de celles des autres. Cela
raffermira votre position et renforcera votre détermination à collecter vos
fonds de démarrage. En lisant leurs histoires, vous devez vous dire : « si ceux-là l’ont fait, pourquoi pas
moi ? »
Exemple International : la Multinationale APPLE(financements)
Pour réunir les fonds nécessaires
au lancement, Steve Jobs, âgé de 21 ans, vend
son Volkswagen Combi, Steve Wozniak, 25 ans, sa calculatrice HP-65. L’acte de la fondation d’Apple est signé le
1er avril 1976 par Steve Jobs, Steve Wozniak et Ronald Wayne. Moins
de deux semaines après, Wayne se sépare des deux Steve et récupère sa mise
mais, très vite, un élément va apporter un coup d’accélérateur à Apple : Mike
Markkula, un business Angel californien,
apporte 250 000 dollars à la nouvelle compagnie, en plus d’un business
plan. Wozniak et Jobs se mettent au travail dans le garage de la maison
familiale de ce dernier, à Los Altos, où, avec quelques proches, ils assemblent
les cinquante premiers Apple que Steve Jobs a vendus au magasin Byte Shop de Menlo Park. Source Wikipédia
Exemple National : le groupe NSIA Assurance-Banque (financements)
«Lorsque
vous voulez créer une entreprise, il faut faire les choses à sa mesure. Si vous
avez 100.000 fcfa, vous n’allez pas créer une compagnie d’assurances, ni une
banque parce que le capital minimum, c’est des milliards fcfa. Vous devez aller
dans un secteur où on peut créer avec 100.000 fcfa. Ou bien vous vous regroupez avec des copains pour créer
l’entreprise que vous voulez, avec les moyens qu’il faut. Il ne faut pas
cracher plus haut que son nez. Il faut savoir mesure garder. Si vous n’avez pas les moyens de créer une
usine, commencez par vendre des galettes. C’est ce qu’ont fait d’autres
personnes. Elles ont vendu des cigarettes et petit à petit … Il faut faire
des sacrifices. Ne pas dépenser les premiers bénéfices tout de suite. Il faut
l’investir. …Comme je vous l’ai dit, ce sont des entrepreneurs qui vont
intervenir. Rien que des entrepreneurs. Jeunes, moins jeunes, vieux, ils
viendront donner leur expérience de la vie. Je ne connais pas l’expérience de
chacun. Je peux donner ma propre expérience. J’étais employé, dirigeant d’une
entreprise multinationale, bien payé, bien traité avec voiture, chauffeur,
logé. J’avais tout et un beau matin en
réfléchissant, je me suis dit, pourquoi pas moi ? Si les autres ont fait,
pourquoi pas moi ? Surtout que je venais de participer à la rédaction du
code Cima à l’époque qui faisait une ouverture à l’intégration régionale des
compagnies d’assurances. Et qui mettait en place une réglementation unique pour
14 pays africains. C’est unique dans le monde. Même les pays européens ne l’ont
pas. … J’ai trouvé que c’était une opportunité, avec la rédaction du Code Cima,
de créer une entreprise qui pourra aller ailleurs et dupliquer la même chose.
J’ai osé à un moment donné. J’ai abandonné tous mes privilèges et fait le saut.
Certains m’ont dit que je faisais une “connerie”.
Je me suis entêté. Dès le départ, j’ai pris des gens chevronnés, de haut niveau
et non une entreprise africaine qui n’est pas compétitive, incapable de
rivaliser avec les autres, malgré un capital réduit, j’ai osé le faire.
D’autres m’ont dit, il faut aller tout doucement, j’ai dit non je vais fort. Je
suis allé fort. Ça a failli me coûter cher à un moment donné. Je n’avais plus que
50 millions fcfa dans les caisses. Je craignais de ne pas pouvoir payer le
personnel. On a dû faire une
augmentation du capital qui était de 300 millions fcfa. J’ai parcouru Abidjan
pour trouver des gens pour m’aider. J’ai fait appel à d’autres personnes pour
entrer dans le capital. Ensuite, petit-à-petit, en gérant d’une manière
serrée, avec rigueur, nous avons pu remonter la pente, et aujourd’hui, nous
sommes ce que nous sommes. Les premiers qui ont participé au capital de cette
société ne regrettent pas. Une affaire dans laquelle ils ont mis 600 ou 700
millions fcfa, vaut environ 200 milliards fcfa. Si moi qui ne suis pas très
intelligent, je l’ai réussi, beaucoup d’entre vous peuvent réussir à le faire.
Il faut faire adhérer le personnel à votre vision, sinon vous ne réussirez pas
», Jean K DIAGOU lancement 1er Forum CGECI Academy
Exemple National Micro entreprise : Commerce de cosmétiques et de parfums de Mélissa Kossonou (financements)
« J’ai toujours été attirée par les affaires. Dès le collège, je voulais créer ma propre entreprise. Ma mère ne me soutenait pas ; elle voulait plutôt que je continue mes études. Alors, pour trouver les fonds de démarrage, j’ai décidé de faire des économies sur l’argent des frais de transport qu’elle me donnait chaque jour pour me rendre à aller l’école. J’ai donc entrepris de marcher tous les jours pour me rendre à l’école et épargner cet argent. Je faisais 2 heures de marches tous les jours de mon quartier Yopougon Wassakara jusqu’à mon collège Offoumou Yapo. A la fin de l’année scolaire, j’ai pu réunir la somme de 15 000 fcfa. J’étais en classe de 3ème. Avec cet argent, j’ai acheté des bouteilles de parfums afin de les revendre. C’est comme ça que j’ai démarré mon commerce. Grâce à ce commerce, j’ai pu payer mes frais de scolarité les trois (03) années suivantes. Aujourd’hui, je suis en deuxième année de licence en droit. » Interview Melissa Kossounou/Cabinet AMP
Voilà quelques exemples que vous pouvez suivre pour trouver des financements et démarrer enfin votre entreprise. Mettez-vous en marche, votre destin est dans votre main. Soyez pragmatique et concret.
Voilà, je termine toujours en disant à ceux qui me lisent pour la première fois notamment en qui concerne la section ENTREPRENEURIAT. Que si vous voulez apprendre des techniques pour créer votre entreprise, je vous recommande de vous abonner à mon site internet dans la section ENTREPRENEURIAT en cliquant ici
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J’insiste car nous sommes bel et bien dans la section ENTREPRENEURIAT. Donc même si vous êtes abonné sur le site mais à une autre section, il faut vous abonner à nouveau mais cette fois-ci dans la section ENTREPRENEURIAT ici
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