Pensez parfois « vieux système » au lieu de penser toujours modernes et NTIC

NTIC
Temps de lecture : 2min 22s

Pensez parfois « vieux système » au lieu de penser toujours modernes et NTIC.

Le constat est clair pour la plupart des aspirants entrepreneurs de la génération des NTIC (utilisateurs des Smartphones, tablettes, ordinateurs portables, etc.). Lorsqu’ils recherchent des idées d’entreprises rentables, ils sont victimes d’un emprisonnement culturel. Cela les empêche souvent de découvrir des solutions simples qui pourraient changer leurs vies. Découvrez comment une opportunité de création d’un business très juteux en Côte d’Ivoire. Elle n’a pas pu être détectée pendant plusieurs années par les « génies » des NTIC.

J’étais en prospection commerciale à la MUGEF CI (Mutuelle Générale des Fonctionnaires de Côte d’Ivoire). C’était avec mon collègue DALEMS FOFANA pour le compte de COLIVOIRE EXPRESS, une entreprise spécialisée dans la distribution express de plis et de colis sur tout le territoire national. Nous avions eu l’intuition qu’une MUTUELLE de ce genre, gérant énormément de paperasses aurait certainement besoin de nos services pour distribuer un quelconque courrier. Nous avions vu juste. Puisqu’en effet, il souhaitait avoir un prestataire pour faire le rapatriement des bons de mutuelles des pharmacies utilisés par les fonctionnaires dans les villes de l’intérieur du pays. Il avait comme partenaire plus de 250 pharmacies disséminées dans toutes les contrées du pays. Et c’était un casse-tête chinois de livrer ou se faire livrer des courriers depuis ces pharmacies. Mais ce n’était pas le seul problème, il en avait un autre plus préoccupant.

Pendant que nous discutions avec un des Responsables de l’époque, nous avons découvert un super « gros » problème pour eux. Mais pour nous,  c’était un super « gros » business : celui de la gestion des archives de la MUGEF CI. En effet, le Responsable était plus préoccupé par la gestion actuelle des archives de bons de mutuelles que par le souci de les faire rapatrier dans leurs locaux où il n’y avait plus de places.  Tous les bureaux de la MUGEFCI sont bourrés de tonnes de vieux bons de mutuelles. Il n’y a plus aucune place du tout. Alors on demande au Responsable : Qu’est-ce que vous faites pour régler ce problème ? Rien pour le moment, car c’est une question de budget. Nous avons plusieurs propositions de prestataires pour la Gestion Electronique des Archives mais cela coûte plusieurs dizaines de millions de francs FCFA. La Direction a donc demandé de surseoir au projet en attendant de gérer nos problèmes financiers et surtout de successions à la tête de la Mutuelle. Mais ça fait plus de 7 ans que cela dure et personne ne s’en préoccupe plus vraiment. Je ne sais pas comment les gens faisaient avant moi. Mais en tout cas, depuis que je suis à la MUGEFCI, ce problème n’a pas trouvé de solutions.

La phrase est lâchée « comment les gens faisaient avant ? ». Comme je l’enseigne souvent aux aspirants entrepreneurs, un produit ou un service est toujours la solution à un problème. Mais avant vous, il existait une autre solution, sûrement moins bonne ou moins efficace ; c’est pourquoi votre produit ou votre service est né. On s’est donc dit DALEMS et moi : avant la gestion électronique des archives, comment les gens faisaient, il y avait bien un système que les gens utilisaient. C’est là que la génération NTIC bloquent en idées, incapable de sortir de la culture NTIC. La seule solution c’est la Gestion Electronique d’Archivages. Il faut donc attendre que la MUGEFCI trouve l’argent pour financer cette solution. Pendant ce temps, tout le monde attend : CLIENTS ET FOURNISSEURS. Mais nous, fort de cette maxime citée plus haut nous avons décidé de creuser l’idée.

Ne dit-on pas en Afrique que « les vieilles marmites font toujours les meilleures sauces » ! Grâce à un ami de DALEMS FOFANA à la MUGEFCI, nous avons pu « mettre la main sur « un dinosaure ». Il y a toujours des salariés de ce genre dans les organisations. Ils sont là depuis les origines. Ils ont vu défiler de multiples Directeurs Généraux . Et connaissent tout dans l’organisation et bizarrement il occupe les postes d’archivistes, de vaguemestres ou de chauffeurs. Nous avons appris avec ce vieil homme qu’autrefois les archives étaient brûlées notamment les bons de Mutuelles. Car après quelques temps il n’en avait plus besoin. Mais comme les informations qui sont dessus sont importantes (noms et contacts des mutualistes, informations médicales sur l’état de santé, etc.), la MUGEFCI ne souhaitait pas prendre le risque de les jeter comme ça aux ordures. Ces papiers pourraient se retrouver dans les rues chez les vendeuses de galettes ou d’alloco.  Il y avait donc un gars à Bingerville qui venait ramasser régulièrement en camion les vieux bons de mutuelles pour les faire brûler. Après recherche, il se trouve que ce gars avait le seul four individuel d’incinération des déchets d’Abidjan. Un tout petit four mais un véritable monopole dont il avait hérité de son père, qui lui-même l’avait hérité des colons lorsque Bingerville était encore la capitale de la Côte d’Ivoire. Il incinérait ainsi des tonnes de papiers. Mais il était décédé il y a plusieurs années et personne n’avait repris son affaire.

Les « pauvres » prestataires de ramassage d’ordures d’Abidjan continuent encore de brûler certaines ordures dans les lieux de fortunes cachés dans la brousse. Le faisant, ils jouent au chat et à la souris avec les Gardes des Eaux et Forêts ou les agents de protection de l’Environnement (ANASUR). Parfois, ils laissent carrément certains déchets devant votre maison comme les morceaux de bois, les gravats, les herbes tondus, les animaux morts, etc. Quant à la génération NTIC, elle court après les budgets d’archivages électroniques des grandes entreprises en tentant de vendre la seule solution qu’il connaisse. Pendant ce temps, des tonnes de papiers inutilement stockés et encombrant les entreprises attendent qu’un Ivoirien achète un four Incinérateur de déchets depuis l’INDE. Ensuite, demande la liste des déchets non polluants et non dangereux autorisés à incinérer et désengorger. Enfin les locaux de toutes nos vieilles administrations et entreprises. Même la décharge d’Akouédo à Abidjan attend aussi son alternative au stockage (mise en décharge des ordures).

Voilà donc un business porteur. Je l’avais aussi gardé dans ma boîte à idées en attendant de la mettre en œuvre. Mais finalement avec l’accord de mon ami DALEMS nous avons décidé de la communiquer. Tout simplement parce que nous avons trouvé d’autres problèmes à résoudre. Ces problèmes sont plus dans nos cordes et avec un plus large marché. Ce sont des millions de gens comme vous qui recherchent des idées d’entreprises rentables pour augmenter vos revenus. pour vous mettre à votre propre compte et pour jouir de l’indépendance financière. Ça aussi c’est un marché porteur.

AMON REGIS
Coach formateur en marketing pour les PME en difficulté de vente
CABINET AMP
22 42 50 45 / 07 90 47 61
cabinetamp@yahoo.fr

Comment maximiser vos profits avec vos compétences ?

Entreprises de services: Comment maximiser vos profits avec vos compétences ?

Vous bossez à votre propre compte, vous vendez bien vos services mais pas suffisamment pour adopter le train de vie que vous souhaiteriez. Comment faire pour gagner plus ? C’est le cas pressant que m’ont exposé deux jeunes entrepreneurs. Le premier entrepreneur donne des cours de soutien à domicile à des élèves, et l’autre est un mécanicien qui a ouvert un garage de réparation automobile à Attoban. C’est une préoccupation assez fréquente chez les entrepreneurs de services tels que les commerçantes de vêtements ou d’extensions de cheveux (communément appelées en RCI les mèches), les comptables fiscalistes, les infographistes, les restaurateurs et même certains collègues consultants-formateurs.

Que faire ?

Il vous faut tout simplement changer de « BUSINESS-MODEL » si vous voulez accroître considérablement votre profit. Qu’est-ce qu’un BUSINESS MODEL ?

Un business model, c’est la méthode ou la façon que vous choisissez pour gagner de l’argent avec votre entreprise.

Un exemple pour vous éclairer. Disons que vous êtes un promoteur constructeur immobilier et vous possédez un terrain de 3 000 m2 dans le quartier de Cocody. Vous décidez d’y construire 3 villas basses de 5 pièces pour un coût de construction 30 millions chacune que vous vendez à 50 millions l’unité. Votre bénéfice est donc de 20 millions sur chaque villa soit un bénéfice total de 60 millions sur votre opération. Cependant, un de vos concurrents disposant lui aussi d’un terrain de 3 000  m2 voisin du vôtre décide de construire par contre un immeuble de 24 appartements de 5 pièces pour un coût de construction de 240 millions, puis vends tous les appartements à 18 millions l’unité empochant une somme de 432 millions. Ce qui lui fait un bénéfice de 192 millions. On peut donc conclure que votre concurrent a eu un meilleur BUSINESS-MODEL que vous, car avec une superficie égale il a réalisé un bénéfice 3 fois plus énorme que vous (192 millions contre 60 millions).

Vous avez donc compris que pour faire plus de profit avec votre affaire, il vous faut développer un meilleur BUSINESS MODEL.

Maintenant quel BUSINESS MODEL pouvez-vous mettre en place pour engranger plus de profit avec vos compétences ou votre métier ?

C’est le plus difficile à trouver, sinon tout le monde aurait été riche. Car, en fait, concevoir un BUSINESS MODEL requiert de la créativité. Comme je suis une adepte du pragmatisme, j’ai toujours convaincu mes aspirants entrepreneurs que pour aller vite et trouver quelque chose facilement il ne faut pas chercher à réinventer la roue. Mettez-vous à la recherche de ce qui existe.

En attendant que vous développiez cette attitude,  voici l’exemple de BUSINESS MODEL d’un Mécanicien Ivoirien millionnaire. Ce Monsieur s’appelle AKA AKE SAMSON aujourd’hui âgé d’une soixantaine d’années (souffrez donc que j’appelle affectueusement « le Vieux père »). « Le vieux père » a obtenu un BEP en Mécanique en France dans les années 80. De retour au pays, dans un environnement où les mécaniciens auto n’ont presque jamais fait d’études, AKA se distingue très rapidement par son professionnalisme et sa qualité de travail. Il décroche de gros contrats de maintenance auto dans les sociétés d’Etat de l’époque et fait bombance. Mais très vite, la masse de travail devient lourde car les véhicules à réparer sont de plus en plus nombreux. Les « apprentis » et autres mécaniciens recrutés dans son atelier ne sont pas aussi bons que le « vieux Père », même certains de ses fils qu’il a formés patiemment se révèlent être des pâles copies du talent du « Vieux Père ». Que faire ? Augmenter le coût de ses prestations ? Mauvaise idée ! Ça risquerait de faire fuir les clients. Il a déjà tenté cela, mais les clients se plaignent. Travailler plus ? Il n’en a plus la force. Il aimerait bien gagner plus profit en 1 heure de travail. Alors il trouve un business Model très rare à l’époque. Il décide d’acheter au TOGO des véhicules accidentés ou importés et en piteux état. Ensuite, sur le chemin du retour en Côte d’Ivoire, Il fait une escale au GHANA pour acheter à bas prix les pièces du véhicule  à changer. Enfin, il les répare intégralement à Abidjan, puis les revend quasi neuves avec une marge bénéficiaire allant de 4 à 5 fois le prix.

Ce BUSINESS MODEL est quasi parfait car le « Vieux père » AKA a utilisé tous ses talents de mécanicien pour MAXIMISER son profit. En effet, ses compétences en termes de diagnostic des pannes mécaniques lui servent d’abord à flairer les bonnes affaires et à négocier au bas prix l’achat des véhicules en mauvais état en apparence mais en bon état mécanique. Ensuite, grâce à son professionnalisme et sa qualité de travail, il « retape » les véhicules en leur donnant une fière allure mécanique. Enfin, il peut revendre la voiture avec une énorme marge bénéficiaire insoupçonnée du client. Car, en effet, le client n’a aucune idée du temps ni du niveau de réparation effectuée sur la voiture. Le seul objectif du client c’est d’acheter un véhicule d’occasion qui soit en très bon état de marche. Mettez-vous une seule seconde à la place d’un client qui se rend dans un parc auto pour acheter un véhicule d’occasion. Comment pouvez-vous savoir à vue d’œil si le véhicule que vous venez d’acheter était un véhicule en piteux état mécanique et qui a été entièrement rénové. Ce business Model permit au vieux père de faire fortune rapidement durant plusieurs années et de construire un triplex, d’avoir trois femmes et 18 enfants. Il se raconte que chacune de ses épouses étaient logées à chaque étage, et lui-même vivant au dernier étage faisait monter quotidiennement tous ses gosses pour déjeuner avec lui autour d’une table « royale » longue de plusieurs mètres. C’est ce qu’on appelle vivre la vie de ses rêves, et pourtant il n’avait que le BEP en mécanique.

Et vous, quel business model trouverez-vous pour engranger de larges profits avec votre entreprise de service ? Ci-joint une photo de la résidence AKA à Abidjan Marcory Anoumabo.

Voilà, je termine toujours en disant à ceux qui me lisent pour la première fois notamment en ce qui concerne la section ENTREPRENEURIAT. Que si vous voulez apprendre des techniques pour créer votre entreprise, je vous recommande de vous abonner à mon site internet dans la section ENTREPRENEURIAT en cliquant ici

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Par @Regis Amon
Coach pour les PME en difficultés de ventes
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CC Aimé Koné Mauricette Koffi Keita Abdou Karim Yannick Stéphane Gboko

Trouver des clients à qui personne ne pense

Trouver des clients à qui personne ne pense

Comment un artiste peintre vend 30 000 exemplaires de ses œuvres chaque mois ? Impensable !
Temps de lecture : 1min 15s

Je continue avec ma série d’idée de produits et de services rentables pour vous aider à débloquer des idées de business et gagner votre vie. Aujourd’hui, c’est l’exemple d’un artiste-peintre qui touchait 6 millions de FCFA par mois sans vendre un seul de ses tableaux et sans faire des expositions ventes de ses œuvres. Comment a-t-il opéré pour atteindre ce résultat ? C’est l’objet de cet article. Vous verrez que trouver des clients potentiels auxquels personne ne pense peut vous permettre de tirer votre épingle du jeu « de la galère ».

Au cours d’un séminaire de formation en Israël, mon mentor et moi sommes allés rendre visite à un de ses amis entrepreneurs, un artiste peintre. Dès notre arrivée, je fus très impressionné par la villa d’habitation de l’artiste peintre : villa suréquipée en style moderne avec piscine. Mais la cerise sur le gâteau, c’était son âge : 23 ans et déjà multimillionnaire. En tant qu’apprenant, j’avais l’autorisation de mon mentor de lui poser toute sorte de question : Comment gagne-t-il son argent ? Comment a-t-il monté son business ? etc.

Eh bien, figurez-vous qu’à sa sortie de l’Ecole des beaux-arts, le type galérait. Il n’était pas un nom connu de l’art et donc il n’arrivait pas à vendre suffisamment ses toiles pour vivre décemment. Parfois, il se contentait de réaliser des petits portraits çà et là pour des clients particuliers. Il cherchait sans cesse des clients potentiels qui pouvaient être intéressés par ses œuvres. Cependant, comme le commun des mortels, il pensait que seuls les gens aisés ou huppés s’intéressaient à l’art. Après tout, il n’avait pas tort puisque la plupart du temps les gens commençaient par acheter le sac de pommes de terre avant d’acheter une image d’art.

Or, les gens huppés ne sont pas nombreux ; et quand vous en trouvez il faut qu’ils soient aussi intéressés par l’art. Face à ce double blocage, il changea sa manière de penser : il décida de se creuser les méninges pour trouver un moyen de vendre ses images d’art aux pauvres ou tout au moins à une plus grande population cible autre que les riches ou les passionnés d’art. Pour lui, c’était le seul moyen de pouvoir utiliser le formidable outil de la DUPLICATION et se faire ainsi beaucoup plus d’argent.

Il commença par observer la vie au quotidien des familles de conditions modestes en tentant de détecter si dans leurs vies ils possédaient ou achetaient des images d’art. Sa découverte fut stupéfiante. En effet, il avait constaté que chaque famille possédait au moins 10 à 15 images d’art dans sa maison sans faire vraiment attention. Mieux quand ils en manquaient, ils les renouvelaient. En effet, sur les assiettes ou les tasses, il y avait une image d’art, un dessin ; sur des carafes d’eau les pots de fleurs il y avait un dessin. Mais qui faisait ces dessins ? Qui dessinait pour les fabricants d’assiettes, de tasses, etc ?

Ce fut pour lui une révélation. Ainsi, il ne tarda pas à se rendre chez les fabricants d’assiettes et de tasses du pays pour s’enquérir de leurs méthodes. C’est de cette façon qu’il put savoir que certains fabricants n’avaient aucun dessinateur pour leurs produits : ils piquaient à droite à gauche sur Internet des images pour décorer leurs assiettes et quand ils n’en avaient pas, ils se contentaient de fabriquer des assiettes toutes blanches, toutes vertes, etc sans dessins pour les décorer. Parfois, ils se retrouvaient à produire des assiettes d’images identiques avec les concurrents. Il y avait un énorme besoin de dessins dans ce domaine. Il conclut donc un marché avec le patron d’une de ses usines de fabrication d’assiettes et couverts en tout genre pour leur fournir des dessins originaux à imprimer sur leurs assiettes. Il serait payé en retour sur chaque exemplaire produit et vendu. En francs CFA, cela représentait environ 200 FCFA sur chaque assiette produite. Devinez quoi, cette entreprise produisait et vendait au minimum 30 000 pièces par mois soit un minimum de 6 millions de Francs CFA de revenu par mois pour notre cher dessinateur des beaux-arts. Voilà comment notre type pouvait se permettre une vie de « pacha ».

La morale de ce témoignage, c’est d’essayer de penser différemment des croyances populaires pour découvrir votre mine d’or. Pensez à trouver des clients potentiels auxquels personne ne pense. Lisez beaucoup, lisez-moi par exemple même si je ne suis pas une star, cultivez-vous, échangez avec des personnes d’autres cultures que vous et surtout observez votre environnement. Au départ, la télécommande fut inventée pour les tétraplégiques (paralysé des pieds), aujourd’hui il est utilisé par plus d’un milliards de personnes bien-portantes dans le monde. Parfois, votre produit ou votre service peut être utile à des personnes auxquelles personne ne pense. A vous de savoir comment les trouver ?

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