CRÉER SON ENTREPRISE : SI VOUS TRAÎNEZ LES PAS, ICI UNE SOLUTION PEU CONNUE

CRÉER SON ENTREPRISE : SI VOUS TRAÎNEZ LES PAS, ICI UNE SOLUTION PEU CONNUE

ENTREPRISE
Temps de lecture : 2min 52s

Vous avez maintes fois décidé de démarrer votre propre entreprise pour augmenter vos revenus mais jusqu’à présent vous n’avez rien entrepris comme action. Pourtant, vous êtes convaincu que votre épanouissement et l’augmentation de vos revenus passent par la possession de votre propre entreprise.

C’est le paradoxe que vivent tous ceux qui ne réalisent pas leur entreprise ou qui sont tout simplement dans le besoin : c’est important pour vous, cependant vous ne passez pas à l’action. Comment vous motiver à faire quelque chose (votre entreprise) de bien pour vous-même ?

Pour répondre à cette question, j’ai entrepris de lire des livres traitant de la motivation afin de dénicher pour vous LA SOLUTION avec grand « L » et de la partager avec vous.

J’ai constaté que la plupart des livres de motivation proposaient généralement la même chose. En effet, pour la plupart des grands auteurs en motivation, l’être humain est puissamment motivé par l’atteinte de ces objectifs. Ces grands auteurs proposent de vous focaliser sur vos objectifs, en les écrivant, les visualisant et en les relisant régulièrement. Ainsi, en écrivant et en désirant de tout votre cœur que vous voulez gagner 10 millions de FCFA chaque mois avec votre entreprise, toutes vos pensées et vos actions seront coordonnées vers l’atteinte de cet objectif et vous l’atteindrez à terme.

Cependant, bien que ces méthodes de motivation soient puissantes dans leurs conceptions, la plupart des gens n’arrivent pas à se motiver suffisamment soi-même et à passer à l’action avec uniquement la pensée positive. Personnellement, la pensée positive a eu des résultats faibles sur ma vie jusqu’à ce je trouve un tout autre moyen, bien plus efficace que la pensée positive.

Ce puissant motivateur n’est autre que l’HUMILIATION.

L’élément déclencheur qui sera ma source de motivation à vie est le fait de NE DE PLUS REVIVRE CERTAINES HUMILIATIONS.

L’Humiliation, comme source de motivation, comment cela fonctionne ? Voici l’histoire Juliet Wu Shihong, Femme de ménage devenue DG d’une entreprise qu’on appelle IBM Chine Récit rapporté par Pierre Fabrice Adon.

« Juliet travaillait dans une grosse compagnie en Chine. Son job consistait à préparer et servir le thé, nettoyer les bureaux. Un jour, elle s’est vu refuser l’accès au bâtiment parce qu’elle avait oublié sa carte d’accès. Elle avait beau expliquer au gardien qu’elle faisait partie du personnel et qu’elle s’était absentée juste le temps de faire quelques achats, ce dernier resta de marbre. Pendant qu’elle attendait au poste de contrôle, des personnes qui avaient à peu près le même âge qu’elle et qui étaient très bien habillées, entraient dans le bâtiment, sans même prendre la peine de montrer leur badge.
Elle demanda au gardien: ” Pourquoi autorisez-vous ces personnes à entrer sans le badge?”. Le gardien la regarda avec mépris et ne répondit pas. Juliet se regarda, vit les vêtements quelconques qui étaient les siens et repensant aux personnes bien habillées qui venaient d’entrer dans le bâtiment, elle ressentit une honte extrême. Ce jour-là, elle se jura de ne plus jamais donner l’occasion à quelqu’un de l’humilier de la sorte et de devenir une femme célèbre dans le monde.
Dès lors, elle utilisa chaque opportunité pour apprendre et enrichir sa connaissance. Chaque jour, elle était la première à arriver au travail et la dernière à partir. Chaque seconde comptait et elle finit par y arriver. Juliet devint agent commercial et grâce à ses performances extraordinaires (pour quelqu’un qui n’avait pas de grands diplômes), elle fut nommée Manager Régional de sa compagnie. Plus tard, elle devint Directeur Général d’IBM Chine. Son histoire fit le tour de la Chine.

S’il n’y avait pas eu cet incident du badge, Juliet n’aurait pas eu l’ambition de devenir riche et sa vie aurait été différente. »

Comme vous le voyez, l’humiliation est un puissant facteur de motivation. Bénissez donc vos humiliations, car c’est un coup de pouce que vous donne le Seigneur Dieu pour vous relever, vous motiver pour capter les idées qu’il vous donnera afin de les mettre en application. Dieu n’est pas matériel, et les solutions qu’ils nous donnent en réponse à nos prières sont des idées qui émergent à notre cerveau. Si vous ne les mettez pas en œuvre, vous ne pourrez pas obtenir votre salut. Il ne viendra pas construire « l’Arche de NOE » pour vous. Il ne peut que vous donner un plan clair de l’œuvre à construire. La construction effective est de votre ressort.

En plongeant votre nez dans l’Humus (qui veut dire « Terre » en latin), Dieu, à travers l’humiliation, vous redonne l’énergie de la Terre de laquelle il nous a créés. C’est un comme un coup d’électrochoc qu’on donne à un corps sans vie pour le réanimer. Servez-vous de vos humiliations pour crier « STOP ça SUFFIT ! Il faut que ça change. Il faut que je trouve une solution pour sortir de là. » Et dès que le Seigneur fera germer des idées dans votre tête, mettez-les vite à exécution.

Personnellement, j’ai subi plusieurs grosses humiliations financières dans ma vie professionnelle qui me motivent jusqu’ à ce jour à ne plus jamais manquer d’argent. En voici une :

« J’avais payé à crédit mon assurance auto. Comme je n’avais pas d’argent pour régler à l’échéance prévue, je fuyais l’Agent d’assurance, je ne décrochais plus ses coups de fils de relance. Contre toute attente, il réussit à obtenir le numéro de téléphone de mon épouse et l’a sermonna, lui disant que moi, son époux, je devais à sa société et qu’il fallait que je règle immédiatement cette somme. Il s’est permis de nous donner des leçons de vie et nous invitant à apprendre à mieux gérer notre vie et notre argent. Comme on le dit chez nous : « il nous a mal parlé ce jour ». Personnellement, je ne supporte pas devoir une somme d’argent à quelqu’un, et que pour non règlement à l’échéance, cette personne vous traite de tous les noms et traîne votre nom dans la boue. Je me suis senti insulté. Et j’ai dit : plus jamais ça ! ».

Aujourd’hui, chaque fois que je vois mon compte bancaire se vider et que je me rappelle les très mauvais souvenirs des humiliations que j’ai subies, je me remets au travail. Je mets en application les solutions que Dieu m’inspire pour gonfler à nouveau mon compte bancaire. Et ça marche ! Bénissez donc les humiliations que Dieu vous envoie, servez-vous de ces humiliations comme un carburateur, pour dire stop ça suffit, pour passer à l’action et pour sortir de la galère.

Voilà, je termine toujours en disant à ceux qui me lisent pour la première fois notamment en ce qui concerne la section ENTREPRENEURIAT. Que si vous voulez apprendre des techniques pour créer votre entreprise, je vous recommande de vous abonner à mon site internet dans la section ENTREPRENEURIAT en cliquant ici

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Salarié à temps plein et entrepreneur à temps partiel : quelles sont vos chances de succès ?

Salarié à temps plein et entrepreneur à temps partiel : quelles sont vos chances de succès ?

Entrepreneur
Temps de lecture : 2min 15s

D’entrée de jeu, il faut savoir qu’aucun salarié à temps plein et entrepreneur à temps partiel connu dans le monde de l’entrepreneuriat n’a réussi à rendre son entreprise prospère et viable. Pour réussir, tous ont démissionné pour se consacrer entièrement à leur entreprise et la rendre prospère.

Dans le cas contraire, ils ont fini par abandonner leurs aventures d’entrepreneur pour manque de rentabilité. Pourquoi un si grand nombre d’échecs quand on combine ces deux activités ?
Trois (3) facteurs sont la cause de cet échec : votre insuffisance de temps de travail, la cherté de votre absence, votre position confortable engendrant le manque de prise de risques et le manque de vision.

La première cause d’échec est votre insuffisance de temps de travail. Comment pouvez-vous consacrer 4 heures de votre temps par jour pour trouver de nouveaux clients, 1 heure par jour pour contrôler la qualité de livraison de votre produit ou service à vos clients, 2 heures pour recouvrer vos créances, contrôler vos comptes, répondre aux plaintes des clients et négocier les meilleurs prix fournisseurs ? Comment pouvez-vous le faire, si vous travaillez à temps plein pour un autre employeur ?
Ainsi n’étant pas un surhomme et disposant de 24 heures par jour comme tout le monde, vous n’aurez que trois (03) options qui vous conduiront toutes à l’échec de votre entreprise : soit vous n’exécutez pas ces tâches clés, soit vous bâclez ces tâches clés, soit vous confiez ces tâches clés à quelqu’un d’autre pour les faire à votre place. Soyons un peu sérieux, si vous n’avez pas le temps vous-mêmes de trouver vos clients pour votre propre entreprise, de contrôler l’argent qui entre et qui sort de votre entreprise, et de négocier les prix les plus bas et la meilleure qualité chez vos fournisseurs, comment pouvez-vous faire décoller votre entreprise ?
Cependant, malgré cette faiblesse évidente, l’entrepreneur débutant pense naïvement que l’on peut déléguer ces tâches clés à quelqu’un de confiance pour les gérer et les rendre riches. Or, c’est ce qui va constituer la seconde cause d’échec.

La seconde cause de l’échec de votre entreprise est la hausse de vos charges d’entreprise qu’engendra la délégation de vos tâches clés.
Exemple : si vous n’avez pas le temps d’être présent dans votre commerce pour vendre, vous serez obligé de recruter un agent commercial pour recevoir vos clients. Le salaire de ce commercial sera une charge pour vous entrepreneur.
Pire, vous serez même obligé de payer pour des tâches improductives ou simplement administratives. Exemple : déposer une facture pro forma chez un prospect ou peut-être récupérer un document administratif à l’administration publique lorsque le rendez-vous a été fixé en pleine journée pendant vos heures de travail au bureau. Vous payerez peut-être la modique somme de 1000 FCFA ou 2000 FCFA à votre neveu au chômage pour qu’il fasse la course pour vous. Mais en fin compte, en cumulant ces sorties d’argent et en comptabilisant ces charges dues à ces délégations de tâches clés ou improductives, vous vous rendrez compte que votre business n’est pas ou peu rentable.
Avec ma double expérience en tant que de coach marketing pour PME en difficulté de vente et en création de petites entreprises rentables, 95% de ceux qui me disent cela : « Coach, j’ai une affaire, mais je n’arrive pas à m’en sortir, quand je fais mes comptes, je me rends compte que je perds, quels conseils pouvez-vous me donner pour bien gérer mon affaire ? » ne gèrent jamais leur business à temps plein. Ils ont toujours un autre boulot sécurisé ailleurs en plus de leurs business. Généralement, ils s’attribuent les tâches « nobles » de l’entrepreneuriat notamment les tâches qui leur confèrent le pouvoir de patron ou le titre de « Boss » vis-à-vis des tiers. Chers collègues, ce n’est pas comme ça que ça marche. Retenez bien ceci : personne ne vous rendra riche à votre place. Même si par un hasard heureux, vous recrutez une personne qui a les capacités de le faire, cette personne prendra conscience très vite de ses capacités, et vous quittera plus tôt que tard. La démission, ça existe. Bill Gates a quitté IBM pour créer son entreprise Microsoft.

La troisième cause d’échec de votre entreprise est due essentiellement à votre position confortable de salarié à temps plein. Pour illustrer votre position, je peux dire que vous êtes comme un bateau à quai qui a ses amarres attachées. Le bateau est votre entreprise, vous l’avez créée, et vous y êtes monté. Mais vous ne pouvez pas lancer votre bateau dans les mers parce que vous êtes encore attachés à quai, vous n’avez pas détaché vos amarres. Ces amarres, c’est votre travail salarié, et le quai votre employeur. Votre salaire vous empêche de prendre les risques nécessaires pour faire décoller votre entreprise. Or, sans prise de risque en affaires, il n’y a quasiment jamais de profits. Votre salaire vous empêche par ailleurs de développer votre vision entrepreneuriale. « Si votre bateau ne quitte pas le quai, comment voulez-vous apercevoir un jour l’horizon ? ». C’est pareil pour votre entreprise, c’est lorsque vous « serez en pleine mer » que vous pourrez obtenir une meilleure vision sur l’horizon. Larguez donc les amarres si vous voulez atteindre l’autre rive.

En conclusion, vos chances de réussite en tant qu’entrepreneur seront très faibles si vous choisissez de le combiner avec un travail salarié à temps plein. Toutefois, si vous voulez gagner de l’argent tout en étant salarié, il vous reste ce qu’on appelle les placements ou les investissements. Il s’agit de placer votre argent ou le prêter à des entreprises déjà constituées et rentables ou en constitution et supposées rentables. Nous y reviendrons une prochaine fois.

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Jeunes diplômés fraîchement sorti de l’école, Faut-il faire carrière ou créer sa propre boîte ?

Jeunes diplômés fraîchement sorti de l’école, Faut-il faire carrière ou créer sa propre boîte ?

diplômés
Temps de lecture : 2min 22s

C’est une question très pertinente posée par un de nos lecteurs. Car, sa réponse nous amène à toucher du doigt le problème du fort taux de chômage des diplômés en Côte d’Ivoire et notre système de formation.
Vous êtes un diplômé sans emploi et sans expérience professionnelle.

Dans votre quête de revenus, vous vous posez les questions de savoir : est-ce qu’il faut continuer à chercher du boulot avec une faible chance d’en trouver et perdre du temps ? Ou bien est-ce qu’il faut se lancer dans l’entrepreneuriat sans n’avoir jamais travaillé en entreprise et risquer d’échouer lamentablement ? Quel est le meilleur chemin pour réussir au plus vite à gagner des revenus et à envisager la vie avec plus de sérénité ?
Pour répondre à votre question, cher lecteur, il faut d’abord comprendre le but final de la formation académique sanctionnée par un diplôme, et comment une entreprise gagne-t-elle de l’argent.
Le but de s’inscrire à une quelconque école, de se former et d’obtenir un diplôme est d’acquérir une compétence ou d’apprendre un métier. Vous devez monnayer ensuite votre compétence ou votre métier pour obtenir des revenus soit en travaillant pour quelqu’un (travail salarié) ou fournissant des produits ou des services à d’autres personnes ou entreprises moyennant le prix du produit ou du service rendu (travail à son propre compte ou entrepreneuriat).
C’est donc la nature de votre compétence ou de votre métier qui va vous conditionner à prendre un chemin ou un autre.

Si n’importe quel métier ou compétence peut vous amener à embrasser une carrière de salarié, cela n’est pas le cas quand il s’agit de créer entreprise.
En effet, comme je l’ai dit plus haut, une entreprise gagne de l’argent en fournissant un produit ou un service à des clients moyennant le prix de vente. Autrement dit, il va falloir, grâce à vos compétences ou votre métier acquis, fabriquer ou fournir un produit ou un service, et le vendre. Il vous faut donc deux (02) compétences importantes : la compétence qui va vous permettre de fabriquer ou concevoir votre produit ou service, et la compétence pour le vendre.

Or, certains diplômes ne vous permettent pas d’acquérir ces compétences. C’est pourquoi il sera difficile pour vous de vous mettre à votre compte ou de créer votre entreprise.
Sans intention de dénigrer un diplôme ou un autre, je vous donne un exemple : si vous avez un diplôme de caissière, fraîchement sortis de l’école, cette compétence ne vous permet pas facilement de concevoir un service ou un produit pour le vendre. Vous êtes d’accord avec moi que vous êtes plus enclin à travailler comme caissière dans une entreprise. Par contre, si vous avez intégré une école d’apprentissage de la mécanique, vous avez plus de facilité à vendre, dès la sortie de l’école, vos services de réparation de véhicules, et ouvrir un garage de mécanique auto.
Le problème de notre système d’éducation est qu’il est conçu pour former des diplômés salariés, non pas des diplômés qui peuvent se mettre à leur propre compte. Un diplômé en BTS en Ressources Humaines n’est pas outillé, ni former pour ouvrir un cabinet RH à son propre compte. Il n’a pas le niveau. C’est là que se situent les difficultés. Et c’est pourquoi beaucoup de jeunes diplômés en Côte d’Ivoire n’ont pas d’idées d’affaires pour se mettre à leur propre compte. Vous êtes obligés de faire du mimétisme, faire ce que les autres font dans des domaines différents de vos diplômes, tout en espérant avoir du succès. Vous verrez sur le marché des affaires, des diplômés de Droit se lancer dans l’élevage de volailles, et échouer lamentablement parce qu’ils ne sont pas compétents pour innover et créer de nouveaux produits ou services.
En outre, vous ne savez pas vendre, personne ne vous a appris. L’échec est donc assuré pour vous qui avez ce type de diplômés conçus pour le travail salarié.

Quant à ceux qui ont appris des métiers comme boulanger, maçon, électricien, infographe, etc. il ne vous reste plus qu’à acquérir la compétence en vente, et à vous lancer à votre propre compte. Un boulanger sait faire du pain, un électronicien peut réparer un circuit défaillant et le facturer. Bref, vous avez plus de chances de succès dans l’entrepreneuriat.
Mais que faire pour les diplômés de type salariés, si vous voulez vous mettre à votre propre compte ?

Une des solutions est de convertir votre compétence en un métier de type libéral afin de créer votre propre entreprise et vous auto-employer.
C’est le cas d’un de mes clients que je coach, titulaire d’un Master en management d’une Université privée d’Abidjan. Il a tenté de trouver un emploi en vain à sa sortie de l’Université. Il n’a obtenu qu’un stage de fin cycle en tant qu’assistant comptable dans une institution. Ne sachant pas dans quel domaine d’affaires investir, il a décidé de se convertir et d’apprendre un métier. Comme il aimait bien la pâtisserie, il est allé l’apprendre dans une école spécialisée à l’extérieur du pays. Dès qu’il est rentré, il a suivi mes séminaires de formation en entrepreneuriat et en vente, et s’est mis à son propre compte. Avec sa petite cuisinière personnelle et quelques outils achetés à 350 000 FCFA il a commencé à confectionner des gâteaux d’anniversaires afin de les vendre. En un an, il avait atteint un chiffre d’affaires de 700 000 fcfa par mois. Aujourd’hui, ce jeune est une de mes fiertés. Voilà donc le témoignage d’un jeune diplômé en gestion qui s’est lancé dans l’entrepreneuriat sans expérience professionnelle en tant que salariés et qui a réussi. Il est à contacter

Retenez donc qu’en tant que jeune diplômé fraîchement sorti de l’école, vous avez la possibilité de vous mettre immédiatement à votre propre compte. Malheureusement, ce sont les écoles spécialisées formant aux métiers qui sont peu nombreuses en Côte d’Ivoire. Quand bien même elles existent, elles sont sous équipées, et forment des théoriciens qui n’acquièrent pas le métier en fin de compte.
Faut-il carrière ou se lancer dans l’entrepreneuriat ? Vous aurez toujours le choix entre les deux chemins. Spécialement pour le lecteur qui a posé la question, diplômé Ingénieur en Transport et Logistique, voici une liste des affaires entreprises dans votre domaine de compétences : service de location de voiture, covoiturage, compagnie de taxis…. Si vous avez en plus des compétences en informatique, vous pouvez concevoir des produits dans le domaine des progiciels de gestion intégrée, systèmes de géolocalisation, identification par radiofréquence RFID et NFC… pour assurer la traçabilité des produits dans l’entrepôt et gérer les stocks, QR Code, robots de palettisation….

A vous d’utiliser les pistes de solutions que je vous ai exposées dans cet article pour améliorer vos chances de succès dans un cas comme dans l’autre, et tirer votre épingle du jeu.

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Par @Regis Amon
Coach pour les PME en difficultés de ventes
Compte YouTube https://bit.ly/CompteYouTubeCabinetAMP
Page Facebook : @Jeveuxacheter
CC Aimé Koné Mauricette Koffi Keita Abdou Karim Yannick Stéphane Gboko

Recherche de Financement pour créer une entreprise en côte d’ivoire

Recherche de Financement pour créer une entreprise en côte d’ivoire

créer une entreprise en côte d’ivoire
Temps de lecture : 2min 22s

Recherche de financement : comment créer une entreprise en côte d’ivoire

« Bonjour Coach, j’ai plein d’idées pour créer une entreprise en Côte d’ivoire. Mais je suis à la recherche de financement pour les mettre en œuvre. Pouvez-vous m’aider ? Merci d’avance ».  Sur 100 emails que je reçois, au moins 1/5 de ces demandes de conseils concernent la recherche de financement de leurs projets pour créer une entreprise en côte d’ivoire. Malgré leurs recherches infructueuses auprès des établissements financiers, ils continuent dans la même direction, comme atteint du « syndrome de la mouche ». Pour ceux-là, il faut une thérapie de choc. La voici dans cet article.

En Côte d’Ivoire, il n’y a aucune banque commerciale qui finance les entrepreneurs au démarrage de leurs projets d’entreprises. A part quelques organismes d’Etat qui vous octroieront des fonds d’aide à la suite de concours dont eux-seuls maîtrisent le processus de sélection, vous n’aurez jamais les fonds d’une institution financière pour créer votre entreprise en Côte d’ivoire. Mais comment trouver les fonds quand les banques ne prêtent pas pour créer une entreprise en Côte d’Ivoire ?
La méthode la plus efficace est de s’inspirer de celles des autres. Cela raffermira votre position et renforcera votre détermination à collecter vos fonds de démarrage. En lisant leurs histoires, vous devez vous dire : « si ceux-là l’ont fait, pourquoi pas moi ? »

Financement Exemple International : la Multinationale APPLE

Pour réunir les fonds nécessaires au lancement, Steve Jobs, âgé de 21 ans, vend son Volkswagen Combi, Steve Wozniak, 25 ans, sa calculatrice HP-65. L’acte de la fondation d’Apple est signé le 1er avril 1976 par Steve Jobs, Steve Wozniak et Ronald Wayne. Moins de deux semaines après, Wayne se sépare des deux Steve et récupère sa mise mais, très vite, un élément va apporter un coup d’accélérateur à Apple : Mike Markkula, un business Angel californien, apporte 250 000 dollars à la nouvelle compagnie, en plus d’un business plan. Wozniak et Jobs se mettent au travail dans le garage de la maison familiale de ce dernier, à Los Altos, où, avec quelques proches, ils assemblent les cinquante premiers Apple que Steve Jobs a vendus au magasin Byte Shop de Menlo Park. Source Wikipédia

Financement exemple National : le groupe NSIA Assurance-Banque

«Lorsque vous voulez créer une entreprise en Côte d’Ivoire, il faut faire les choses à sa mesure. Si vous avez 100.000 fcfa, vous n’allez pas créer une compagnie d’assurances, ni une banque parce que le capital minimum, c’est des milliards fcfa. Vous devez aller dans un secteur où on peut créer avec 100.000 fcfa. Ou bien vous vous regroupez avec des copains pour créer l’entreprise que vous voulez, avec les moyens qu’il faut. Il ne faut pas cracher plus haut que son nez. Il faut savoir mesure garder. Si vous n’avez pas les moyens de créer une usine, commencez par vendre des galettes. C’est ce qu’ont fait d’autres personnes. Elles ont vendu des cigarettes et petit à petit … Il faut faire des sacrifices. Ne pas dépenser les premiers bénéfices tout de suite. Il faut l’investir. …Comme je vous l’ai dit, ce sont des entrepreneurs qui vont intervenir. Rien que des entrepreneurs. Jeunes, moins jeunes, vieux, ils viendront donner leur expérience de la vie. Je ne connais pas l’expérience de chacun. Je peux donner ma propre expérience. J’étais employé, dirigeant d’une entreprise multinationale, bien payé, bien traité avec voiture, chauffeur, logé.

Jean K DIAGOU lancement 1er Forum CGECI Academy

J’avais tout et un beau matin en réfléchissant, je me suis dit, pourquoi pas moi ? Si les autres ont fait, pourquoi pas moi ? Surtout que je venais de participer à la rédaction du code Cima à l’époque qui faisait une ouverture à l’intégration régionale des compagnies d’assurances. Et qui mettait en place une réglementation unique pour 14 pays africains. C’est unique dans le monde. Même les pays européens ne l’ont pas. … J’ai trouvé que c’était une opportunité, avec la rédaction du Code Cima, de créer une entreprise qui pourra aller ailleurs et dupliquer la même chose. J.ai osé à un moment donné. J’ai abandonné tous mes privilèges et fait le saut. Certains m’ont dit que je faisais une “connerie”. Je me suis entêté. Dès le départ, j’ai pris des gens chevronnés, de haut niveau et non une entreprise africaine qui n’est pas compétitive, incapable de rivaliser avec les autres, malgré un capital réduit, j’ai osé le faire. D’autres m’ont dit, il faut aller tout doucement, j’ai dit non je vais fort. Je suis allé fort. Ça a failli me coûter cher à un moment donné. Je n’avais plus que 50 millions fcfa dans les caisses. Je craignais de ne pas pouvoir payer le personnel. On a dû faire une augmentation du capital qui était de 300 millions fcfa. J’ai parcouru Abidjan pour trouver des gens pour m’aider. J’ai fait appel à d’autres personnes pour entrer dans le capital.
Ensuite, petit-à-petit, en gérant d’une manière serrée, avec rigueur, nous avons pu remonter la pente, et aujourd’hui, nous sommes ce que nous sommes. Les premiers qui ont participé au capital de cette société ne regrettent pas. Une affaire dans laquelle ils ont mis 600 ou 700 millions FCFA, vaut environ 200 milliards fcfa. Si moi qui ne suis pas très intelligent, je l’ai réussi, beaucoup d’entre vous peuvent réussir à le faire. Il faut faire adhérer le personnel à votre vision, sinon vous ne réussirez pas », Jean K DIAGOU lancement 1er Forum CGECI Academy

Financement exemple National Micro entreprise : Commerce de cosmétiques et de parfums de Mélissa Kossonou

« J’ai toujours été attirée par les affaires. Dès le collège, je voulais créer ma propre entreprise. Ma mère ne me soutenait pas ; elle voulait plutôt que je continue mes études. Alors, pour trouver les fonds de démarrage, j’ai décidé de faire des économies sur l’argent des frais de transport qu’elle me donnait chaque jour pour me rendre à l’école.
J’ai donc entrepris de marcher tous les jours pour me rendre à l’école et épargner cet argent. Je faisais 2 heures de marche tous les jours de mon quartier Yopougon Wassakara jusqu’à mon collège Offoumou Yapo. A la fin de l’année scolaire, j’ai pu réunir la somme de 15 000 fcfa. J’étais en classe de 3ème.
Avec cet argent, j’ai acheté des bouteilles de parfums afin de les revendre. C’est comme ça que j’ai démarré mon commerce. Grâce à ce commerce, j’ai pu payer mes frais de scolarité les trois (03) années suivantes. Aujourd’hui, je suis en deuxième année de licence en droit. » Interview Melissa Kossounou/Cabinet AMP
Voilà quelques exemples que vous pouvez suivre pour trouver vos fonds et démarrer enfin votre entreprise. Mettez-vous en marche, votre destin est dans votre main. Soyez pragmatique et concret.

CONCLUSION

Voilà, je termine cet article sur créer une entreprise en côte d’ivoire en disant à ceux qui me lisent pour la première fois notamment en ce qui concerne la section ENTREPRENEURIAT. Que si vous voulez apprendre des techniques pour créer votre entreprise, je vous recommande de vous abonner à mon site internet dans la section ENTREPRENEURIAT en cliquant ici

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Entreprise rentable : voici comment vous pouvez vivre de votre business?

Entreprise rentable : voici comment vous pouvez vivre de votre business?

Entreprise rentable
Temps de lecture : 2min 22s

Tout d’abord, accordons-nous sur le vocable « entreprise rentable et vivre de son entreprise ». Si cette description correspond à ce que vous souhaitez, alors vous pouvez lire la suite de cet article et le découvrir.

Une « entreprise rentable et qui vous fait vivre » est une entreprise :

1.       qui fait entrer chaque jour ou chaque mois suffisamment d’argent en provenance des ventes,

2.       qui permet à la fois de payer « tranquillement » toutes les charges d’exploitation (salaires des employés, fournisseurs, Impôts, etc.)

3.       et qui vous fournit à la fin de la trésorerie nécessaire pour vous payer vous-mêmes, et vous payer ce dont vous avez envie.

Si votre entreprise ne permet pas ses trois (03) choses, c’est qu’elle n’est pas « rentable et ne vous permet pas d’en vivre ». Alors comment faire pour changer cette situation très rapidement ?

Voici ma solution en trois (03) étapes :

1 ère étape : Trouvez des produits ou des services qui ont une plus grande valeur

« Jetez les plombs et trouvez des pépites d’or ». Il n’y a pas d’autres secrets, l’argent d’une entreprise vient de la vente de ses produits ou services. Si vous ne vendez pas suffisamment, votre entreprise ne peut pas être rentable. Toutefois, avant de vous lancer tout azimut dans les stratégies marketing ou les techniques de vente, il vous faut d’abord effectuer une revue de tous les produits que vous vendez afin d’en extraire les produits sans valeurs, ce que j’appelle « les plombs ».

Supposant que vous avez deux bijoutiers installés côte à côte, le premier vend des bijoux en or et le second vend des bijoux en bronze. Qui vendra le plus d’après vous ? Bien sûr que c’est celui qui vend de l’or, car les bijoux en or sont plus prisés par les clients que les bijoux en bronze. Les produits d’or ont donc plus de valeur aux yeux du client. C’est pourquoi ce bijoutier d’or gagnera beaucoup plus d’argent. Retenez donc qu’avec votre niveau de connaissances actuelles en techniques de vente, vous ferez entrer plus d’argent dans votre entreprise si vous vendez des produits d’or c’est-à-dire qui ont de la valeur que des produits « en plomb » c’est-à-dire avec une faible ou sans valeur.

Les entreprises rentables savent donc identifier et abandonner les « produits plombs » pour ne vendre que les « produits en or ». Voici quelques exemples de produits « plombs » abandonnés par de grandes compagnies rentables :

1.       Le plat cuisiné « Bonfoutou » de Nestlé lancé sur le marché Ivoirien en 1989. Il s’agissait d’une poudre de pré cuit d’ignames qui permettait d’obtenir rapidement à toute heure ce plat Ivoirien appelé « foutou d’igname ». Il était destiné aux friands de ce mets Ivoirien dont la préparation traditionnelle requérait énormément de temps. Le produit fut abandonné quatre années plus tard.

2.       Les « parfums Bic » : A la fin des années 80, la marque Bic tente de lancer sur le marché un produit révolutionnaire. Des petits flacons en plastique de parfum, ressemblant à des briquets. Le produit connu un véritable échec pour la seule et unique raison que l’univers du parfum ne fait pas bon ménage avec les produits jetables. Les parfums Bic furent retirés du marché en 1991.

3.       Les piles « Wonder », marque française commercialisée très connu dans les années 80 sur le marché Africain, la marque est concurrencée en France par l’américain Ralston de la célèbre marque de pile Energizer. La dernière usine Wonder à Louviers ferme en 1994.

4.       Les chewing-gums « Spring Gum » lancés par la marque Hollywood en 1979. Elle fut connue par les enfants des années 80 grâce à son partenariat avec le personnage de dessin animé « Gaston » Lagaffe. Spring Gum disparu en 1990.

Source les produits d’antan www.pubsenstock.com

La liste des produits « plombs » est très longue. Toutes ces entreprises rentables connaissent très bien ce principe de « largage de plombs », et elles n’hésitent pas à le faire quand c’est nécessaire. Ne soyez pas accrochés à vos produits même si vous les trouvez innovants. Apprenez donc à détecter les produits qui n’ont pas suffisamment de valeur dans votre gamme et abandonnez-les. Personnellement, quand nous lancions notre entreprise de transport express de courriers et de colis www.colivoirexpress.com nous pensions détenir des services innovants. D’ailleurs, l’avenir pour nous se trouvait dans le transport de colis et non dans le transport des courriers (qui était censé disparaître à cause de l’internet) d’où le nom COLIVOIRE EXPRESS. Mais en fin de compte nous avons dû supprimer au moins deux (02) services « plombs » de notre gamme et les remplacer par d’autres services « d’or » que nous avions détectés sur le marché.

Comment trouver ces « produits d’or » c’est-à-dire qui ont de la valeur ? Comment savoir si votre produit n’a pas de valeur c’est-à-dire est un produit « plomb » ? C’est justement ce que nous vous apprendrons dans la première partie « Trouver une idée de produit ou de service rentable » de notre formation « Apprendre à créer une entreprise rentable ».

Une fois que vous avez trouvé votre produit d’or, vous pouvez lever le second obstacle qui vous empêche de faire entrer plus d’argent dans votre entreprise : ne pas savoir vendre son produit.

2ème étape : Apprendre à vendre son produit et obtenir rapidement des clients

Un produit avec beaucoup de valeur ne vaut rien pour votre entreprise si les clients ne l’achètent pas. C’est quand des clients achètent que l’argent rentrera concrètement dans vos caisses. Pour réaliser cela, il faut posséder les bonnes techniques de vente et les mettre en œuvre.

C’est pourquoi la deuxième partie de notre formation pour créer une entreprise rentable aura pour but de vous apprendre comment vendre et obtenir rapidement des clients.

La vente, c’est un métier, ce n’est pas de l’intuition ou de l’improvisation à la tête du client. Il faut qu’un professionnel vous l’enseigne. Quand je dis un professionnel, je veux dire un vendeur au quotidien, pas un enseignant en marketing. Pour moi, le professionnel adéquat pour enseigner la vente à un entrepreneur c’est un autre entrepreneur qui sait vendre et qui vend ses produits quotidiennement. L’approche de ce dernier sera plus adaptée à votre rôle d’entrepreneur, mieux qu’un ingénieur technico-commercial qui aura une vision restreinte par son statut de salarié, et encore mieux d’un enseignant.

Quand l’argent rentrera en plus grand volume, vous devrez passer à la dernière étape à savoir le dépenser avec intelligence.

3ème étape : Apprendre à affecter les dépenses prioritaires et les règles de gestion efficaces

Plusieurs sommes d’argent qui entrent régulièrement dans votre entreprise doivent être gérées avec intelligence afin de couvrir vos charges au quotidien, pérenniser votre entreprise et dégager suffisamment d’argent pour vous-mêmes et le dépenser selon vos désirs.

Qui dit bonne gestion financière dit prévoyance et prudence. Vous ne pouvez pas être un bon gestionnaire si vous dépensez l’argent de votre entreprise au gré du vent ou à l’improvisation. Il faut donc apprendre à prévoir vos dépenses et dépenser le plus souvent possible uniquement ce qui a été prévu.

C’est pourquoi la troisième partie de notre formation vous apprendra les règles de « prévisions financières et de levée de fonds ».

Pour conclure, pour rendre votre entreprise rentable en 3 étapes, il faut d’abord trouver un produit qui a beaucoup plus de valeur aux yeux de vos clients et ne pas hésitez à lâcher des produits « plombs » de votre gamme, ensuite vendre ce produit en masse facilement en appliquant les techniques efficaces de vente et de marketing, puis enfin gérer la manne financière entrante et priorisant ses dépenses.

Voilà, je termine toujours en disant à ceux qui me lisent pour la première fois notamment en ce qui concerne la section ENTREPRENEURIAT. Que si vous voulez apprendre des techniques pour créer votre entreprise, je vous recommande de vous abonner à mon site internet dans la section ENTREPRENEURIAT en cliquant ici

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